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La clé du Caveau à l'usage des chansonniers français et étrangers, des amateurs, auteurs, acteurs, chefs d'orchestre et de tous les amis du vaudeville et de la chanson ... / par P. Capelle.
Format
Musical score
Language
French
Εdition
4. éd, contenant 2350 airs, dont 470 qui n'étaient point dans l'édition précédente.
Published/Created
Paris : A. Cotelle, [1848].
Description
xvi, 269 p., 594 p. (music) ; 16 x 25 cm.
Details
Subject(s)
Songs, French
[Browse]
French poetry
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Related name
Capelle, M. (Pierre Adolphe), 1772-1851
[Browse]
Library of Congress genre(s)
Songs
[Browse]
Notes
"Cet ouvrage est précédé d'une notice sur le Caveau..."
With unaccompanied melodies.
First edition was published in 1810.
"Caveau" is the keyword of a Society of artists and musicians.
Contents
A boire! a boire! a boire – A boire je passe ma vie, ou air du cabaret – Abbe delicat et galant – A ca v’la done qu’est bâclé – Accompagné de plusieurs autres – Accours dans ma nacelle – A ce recit subitement – A cet arret devions-nous nous attendre? – A confesse m’en suis allé – A cote d’un grand mélèse – A coups de pieds, à coups de points – Accourez, pour vous divertir – Adieu done, cher la Tulipe – Adieu donc, dame Françoise – Adieu, douce pensée – Adieu, je vous fuis, bois charmant – Adieu, mes chères pénitentes – Adieu, mon beau navire – Adieu, paniers, vendanges sont faites – Adieu, Paris, sans regret je te quitte – Adieu, plaisirs d’amour – Adieu, rive chérie – Adieu, vieux amis de la gloire – Adieu, vous que j’ai tant chérie – A dix-sept ans la pauvre Coralie – A douce et gentille fillette, ou épouse tendrement chérie – Age d’Astrée, ô temps heureux, ou air de la romance de Florian – Agnès la belle – Agnès la jouvencelle – A Guéret près Mont-Luçon – Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Comment faire, hélas! – Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Ne me parlez pas – Ah! Ah! Ah! Faut-il que l’amour – Ah! Ah! Ah! V’là tous nos bouquets – Ah! Ah! Ce n’est pas cela – Ah! Ah! Quel dommage! – Ah! Ah! Qu’elle est bien – Ah! Ça ira – Ah! C’cadet-là queu pif qu’il a – Ah! Cessez, cessez, mon père – Ah! C’est la femme – Ah! C’est joli – Ah! Chien, ah! Chien – Ah! Combien qu’il m’intéresse – Ah! Comme on trompe dans ce monde – Ah! Comme on est régénéré – Ah! Dans le siècle où nous sommes – Ah! De quel souvenir affreux, ou daignez m’épargner le reste – Ah! Dis-moi comment on appelle – Ah! Docteur, docteur, docteur – Ah! Il n’est point de fête quand le cœur n'en est pas – Ah! Il m’en souviendra, la rira – Ah! Jeannot me délaisse – Ah! Laisse ta nacelle – Ah! La bel oiseau, maman – Ah! Le cruchon – Ah! Lorsque la mort trop cruelle – Ah! Madelon, qu’avez-vous donc? – Ah! ma fille, que faites-vous? – Ah! maman, que je l’échappai belle – Ah! mon ami, que ces pensées – Ah! mon cher oncle, en conscience – Ah! mon Dieu, quelle différence! – Ah! monseigneur! Ah monseigneur! – Ah! Monsieur de grâce, faites-les finir – Ah! Ninon, quelle âme! – Ah! partagez mes transports, mon ivresse, ou cueillons des cerises nouvelles – Ah! pour l’amant le plus discret – Ah! qu’c’est joli – Ah! que d’amis, dans tout Paris – Ah! qu’c’est un métier difficile – Ah! que de chagrins dans la vie! – Ah! que j’aime cet asile – Ah! que je sens d’impatience, ou voyage qui voudra – Ah! que je suis donc chagriné – Ah! que je suis fière – Ah! que je suis frais et dispos – Ah! que l’amour aurait pour moi de charmes – Ah! quel funeste destin – Ah! quel plaisir – Ah! quel plaisir d’aimer Lucas — Ah! quel plaisir d’être marraine – Ah! quel plaisir, mon cher cousin – Ah! quel plaisir, mon adorable Alice – Ah! quel scandale abominable – Ah! quelle gêne, quel tourment! – Ah! quel nuit! – Ah! quelle ivresse! ah! quel nectar! – Ah! qu’il est doux de vendanger – Ah! qu’il est drôle – Ah! qu’un repas de fruit et de laitage, ou air d’un hymne à la Paix – Ah! si les grands seigneurs savaient la vie – Ah! si ma dame me voyait! – Ah! si vous aviez vu monsieur de Catinat – Ah! s’il est dans votre village – Ah! voilà la vie, la vie, suivie – Ah! votre prévoyance est vaine – Ah! vous allez parfumer d’ambre, ou j’ai des vapeurs – Ah! vous dirai-je, maman – Ah! vraiment, c’est charmant – Aï, s’avez din vostré billatgé – Aimable oiseau dont le ramage – Aimable gaîté du vieux temps – Aimable jeunesse – Aimable sexe, vos lois – Aimé de la belle Ninon (voy. vaudeville des deux Veuves) – Aimer toutes les belles – Aimez, vous avez quinze ans – Aimez-vous mam’sell’ Suzon – Aimez-vous la blonde? – Aimons, aimons-nous (voy. enfants de quinze ans) – Ainsi d’un préjugé barbare, ou air de la romance de Mélidor et Phrosine – Ainsi jadis un grande prophète – Ainsi jadis à Télémaque – Ainsi jadis d’un ménestrel – Ainsi que l’aurore – Ainsi que vous je veux, mademoiselle – A jeune veuve aimable et belle – A la beauté qu’embellit la pudeur – A la campagne il faut qu’on se promène – A la cour les malicieux – A la façon de Barbari, mon ami – A la fêt’ du hameau – A la fleur du bel âge – A la grandeur, à la richesse – A la papa – A la ville comme aux champs – A l’âge heureux de quatorze ans, ou de cet amour vif et soudain – A l’eau, à l’eau! – Alexis depuis deux ans – Alfred, il faut que je vous gronde – Alfred, il faut que je vous gronde – Alfred un jour banni de son domaine – A l’instant même tu peux – Al lébat dé l’auroro – Allez donc, postillon – Allez trouver votre jeune fermière – Allez-vous-en, gens de la noce – Allons, amis, partons pour la chasse – Allons aux prés Saint-Gervais – Allons donc, petit suisse, à l’ouvrage – Allons, enfants de la patrie, ou air de la Marseillaise – Allons, allons au bois – Allons, allons chasser – Allons danser sous ces ormeaux – Allons donc la jeune fille – Allons donc, mademoiselle – Allons! Gai! Divertissons-nous – Allons la voir à Saint-Cloud, ou j’aimons avant tout l’honneur – Allons loin de ce village – Allons, mettons-nous en train – Air nouveau fait sur les mêmes paroles – Allons, mon garçon, ou ronde de Jocrisse aux enfers – Allons, plus de tristesse – Allons tous rendre hommage – Allons donc, postillon – Alors dans la Provence – A l’ombre de ce vert bocage – A l’ombre d’un vieux chêne – A ma Margot – Amants, qui marchez sur les traces – Amant chéri, malgré ta longue absence – Amant sensible et courageux guerrier – A mes traits pour donner plus d’âme – Ami, ton âge t’autrorise – Amis, à la raison – Amis bravons les chaleurs de l’été – Amis, dans nos joyeux banquets – Amis, dépouillons nos pommiers – Amis, d’être sage un beau jour – Amis, chantons à l’unisson, ou le garçon est fait pour la fille – Amis, il est temps qu’on publie, ou versons le vin, renversons les fillettes – Amis, jamais l’chagrin n’ m’approche – Amis, je le confesse – Amis, la matinée est belle – Amis, mettons-nous à table – Amis, quel beau jour pour moi – Amis, vous voulez le portrait – Amis, voici la riante semaine – A moi, charmant Anacréon, ou dodo, l’enfant do – A moins que dans ce monastère – A mon état soyez sensible – A mon moari n’apportant rien – Amour, commence le tableau – Amour et rose – Amour, hymen, quand j’entrevois vos charmes – Amour, laisse gronder ta mère, ou elle aime à rire, elle aime à boire – Amour, ne les brouille jamais – Amour me tient en servage – Amour, ne me trompes-tu pas? – Amour, règne sur mon âme – Amour, viens enfler ma musette – Amour, viens finir mon supplice – Amusez-vous, jeunes fillettes – Amusez-vous, oui, je vous le conseille – Amusez-vous, trémoussez-vous – Anacréon devint si vieux – Ange des nuits, viens de tes voiles sombres – Animé d’une noble audace – Annette à l’âge de quinze ans – Annette en gardant son troupeau – A notre bonheur l’Amour préside – Antiquaire savant – A Paris, et loin de sa mère – A Paris s’en allait Javotte – A Paris il n’est pas d’obstacle – A peine ai-je quitté l’enfance – A peine avions-je atteint nos quinze ans – A peine ai-je atteint l’âge – A pied comme à Cheval – Appelé par le dieu d’amour – Apprenez, juges équitables – Après avoir couru trois fois – Après de pénibles combats, ou pour donner la paix à la terre – Après la chute des tyrans – Après la chute des tyrans – Après ma mort vous pleurerez, j’en jure – Après trente ans d’obéissance – Après vingt-cinq ans, ou aux beaux jours, hélas! – Approchez-vous sans crainte – Approchons-nous en silence – A quoi bon ces pleurs superflus – A quoi bon former tant de vœux – A quoi bon la richesse, ou il n’est point de plaisir, de bonheur sans amour – A quoi sert dans not’ Picardie – Arbre charmant qui me rappelle – Arbre flétri, pâle et mourant feuillage – Arbre, témoin de nos serments – A Roncevaux – Arrangez-vous – Arrêtez-vous un peu – Arrivez donc, monsieur, le temps s’écoule – Artiste savetier – A sa fille, disait Lucrèce – A sa maîtresse être fidèle – A sa jeune captive – A seize ans je vis Zélie – Asile héréditaire – Asile ou règne le bonheur – A soixante ans, on ne doit pas remettre – Assez dormir, ma belle – Assis dessus la fougère – Assis sur l'herbette – As-tu vu la lune, Jean? – A tes vertus je dois rendre les armes – A tort on reproche aux buveurs – A toulouse il fut une belle – A tout je préfère le toit de ma mère – Attendez-moi sous l’orme – Attends quelques instants – Au bas d’un fertile coteau – Au beau pays de France – Au bon vin, soir et matin – Au bord de la Durance – Au bord d’un clair ruisseau, ou julie est sans désir – Au bord d’une fontaine, ou Félicité passée – Au bruit du joyeux tambourin – Au champ de victoire – Au champ d’honneur allons, on me défie – Au château de ses aïeux – Au château du seigneur Gernance – Au clair de la lune – Au coin du feu, ou au fond du bois – Au-dessus des Dieux et du sort – Au fond de mon caveau – Au fond d’une heureuse vallée – Au fond d’une sombre vallée – Au fond d’un bois sous la coudrette – Au gré de mon envie – Au lever de l’aurore – Au lever du jour, ou je ne sais pourquoi – Au loin j’allais chercher nos frères – Au marché qui vient de s’ouvrir – Au moulin de ma tante – Au Palais-Royal, à Paris – Au pied de la croix solitaire – Au plaisir, à la folie – Au pouvoir de plusieurs déesses – Auprès de Barcelone, ou un jour de cet automne – Auprès d’une femme jolie, ou qu’il est terrible pour un cœur – Aurélius, ami tendre et fidèle – Au réfectoire, à la prière – Au rendez-vous me voici la première – Au sein des mers et loin du monde – Au sein d’une fleur tour-à-tour – Au soin qu je prends de ma gloire – Au sommet du Parnasse – Au son du fifre et du tambour – Au sort pas moyen d’échapper – Au souvenir de ma chère patrie – Aussitôt que la lumière – Aussitôt que le bal commence – Aussitôt que je t’aperçois – Au temps orageaux de folie – Au temps heureux de la chevalerie – Au temps passé. Ou quand vous jugez que je ne suis pas belle – Au temps jadis un chevalier – Autrefois à sa maîtresse – Autrefois dans notre pays – Autrefois sur mon flageolet, ou Madeleine à bon droit passa – Au vallon tout est sombre – Aux accords enchanteurs du fifre et du tambour – Aux beaux jours, hélas! – Aux bord où la Seine enchaînée – Aux champs d’honneur qu’illustra sa vaillance – Aux échecs, aux échecs comme au billard – Aux gens atrabilaires – Aux jours heureux que mon cœur se rappelle – Aux malheureux j’ai fait du bien – Aux montagnes de la Savoie – Aux refrains que Bacchus inspire – Aux Rocher de Saint-Avelle – Au zéphir infidèle – Avais rêvé dans un tendre délire – Avale, avale, avale – Avant d’avoir vu ce mortel – Avant d’être à l’Amour – Avant l’aube du jour, ou le pèlerinage – Avec Colas mon gros cousin – Avec douceur on se repose – Avec femme aimable et jolie – Avec Iseulte et les Amours – Avec les jeux dans le village – Avec toi quelle différence – Avec vous sous le même toit – A Venise jeune fillette – Avez-vous connu Jeannette? Avez-vous connu Jeannot? – Avez-vous vu dans Barcelone – Avoir dans sa cave profonde – A vos genoux, voyez, je vous admire – A votre âge fille la plus sage – A vot’ santé, monsieur touchez là – A voyager passant sa vie – A voyager je passerais ma vie – Avril, l’honneur et des mois et des bois – Avril revient remplacer la froidure – Ayant perdu ma peine – Aye, aye, aye Jeannette – Babet fait la belle – Babet m’a su charmer, ou Babet, qu’ t’es gentille! – Bacchus, cher Grégoire – Bacchus seul comble mes désirs – Baise-moi donc, me disait Blaise – Bannissons d’ici l’humeur noire – Barque jolie – Batelier, dit Lisette – Beau chevalier appuyé sur sa lance – Beau milicien, toi qu’as la taille – Beauté, charme des yeux, sources de nos désirs – Beaux damoiseaux et damoiselles – Beaux jours de la chevalerie – Belle au galant mystère – Belle brune que j’adore, ou si vous sentez dans vos âmes – Belles, si vous voulez m’entendre – Berce, berce, bonne grand-mère (voy. air de la berceuse) – Bergère légère – Bergers, avec vos chiens fidèles – Besoin d’aimer – Bien, bien, bien, mes amis – Bien loin de la Bretagne – Bien que Brigitte eut à peine quinze ans – Bientôt en vainqueur, en héros – Blanc farinier, donnez-moi votre fille – Blondinette, joliette – Bocage, que l’aurore – Boira qui voudra, la rirette, ou la disciplin’ n’est pas sage – Boire à longs traits – Boire à son tire-lire-lire – Boire et ne jamais se griser – Bon ange, ô sauvez-moi d’une erreur dangereuse! – Bon, bon, mariez-vous – Bon dieu, bon dieu, comme à c’te fête – Bonjour, mon cher corbeau – Bon martinum, bon martinus – Bon ouvrier – Bon voyage, cher Dumolet – Bon voyage, bon voyage – Bonjour, ma voisine – Bonjour, mon ami Vincent – Bons chevaliers, écoutez ma romance – Bons habitants du village – Bonsoir, ma jeune et belle amie – Bonsoir jusqu’au revoir, juqu’au revoir, bonsoir – Bonsoir la compagnie – Bouchez, Naïades, vos fontaines – Bouton de rose – Braves amis, écoutez-moi – Bravons, bravons les chaleurs de l’été – Brûlant d’amour et partant pour la guerre – Buvez, buvez, en attendant l’aurore – Buvons à Momus – Buvons à nous quatre – Buvons à tire-la-rigo – Buvons, puisque dans le vin – Byron, ta brillante audace –
C’major, ce capitaine – Cach’ ton joli bas de laine – Caché sous les habits d’un esclave africain – Cadet Rousselle est bon enfant – Ça, dis-moi sans détour – Ça fait, ça fait toujours plaisir – Ça m’est égal, ou come il m’aimait – Ça n’ devait pas finir par là – Ça n’ dur’ra pas toujours – Çà not’ minagère – Ça n’se peut pas – Ça, parmi vous, qu’est-ce qui s'apprête – Captif au rivage du Maure – Ça viendra, ça viendra, ça viendra – Ça vous va-t-il bien, ça n’vous bless’-t-il pas? – Ce boudoir est mon Parnasse – Ce cadet-là queu pif qu’il a – Ce cher cousin vint dans votre hémisphère – Ce cer enfant sur mes genoux – Ce cher objet sommeille encore – Cécile est jeune, elle est charmante – Ce crayon trop fragile – Ce financier nage dans l’opulence – Ce fut au temps de la moisson – Ce fut par la faute du sort – Ce fut toujours de la simple nature, ou oui, si j’admire un instant le parterre – Ce fut un dimanche au soir – Ce jardin est une volière – Ce jeune homme, depuis huit jours, ou c’est toujours la même chose – Ce lieu charmant est un abîme immense – Celui qui dit que deux beaux yeux – Celui qui fait un choix heureux – Celui qui sut toucher mon cœur – Celui qui trompe est un fripon – Celui dont vous charmiez la vie – Ce magistrat irréprochable – Ce mot sévère – Ce mouchoir, belle Raimonde – C’en est donc fait, je ne le verrai plus – Ce n’est pas la première fois – Ce n’est point une folie, ou c’est la fille à Simonette – Ce n’est que pour Madelon, ou ah! Quel funeste destin – Ce n’est que dans la retraite – Cependant je doute encore – Ce que je désire et que j’aime – Ce que je vois ici de mieux à faire – Ce que j’éprouve en vous voyant – Certain esclave de Phrygie – Ce ruisseau qui, dans la plaine, ou autrefois à sa maîtresse – Ce soir j’arrive donc dans cette ville immense – Ce vieux chêne dont le feuillage – Ces braves insulaires, ou chansonniers, mes confrères – Ces dames avaient le projet – Ce sont les meuniers de céans – Ces postillons sont d’une maladresse – C’est à toi, cher camarade – C’est à mon maître en l’art de plaire – C’est à tort qu’on blâme – C’est à tort qu’on se plaint du sort – C’est aussi comm’ ça que pense vot’ p’tit sarviteur – C’est aux champs qu’on sait bien aimer – C’est ben naturel sans doute – C’est bien le plus joli corsage – C’est ce qui me désole – C’est c’rimeur de bonne humeur – C’est, c’est, c’est le bon vin – C’est dans cette égalité même, ou toujours debout, toujours en route – C’est dans ce champêtre séjour – C’est de l’or, de l’or, de l’or – C’est donc demain – C’est du bien que l’on en dit – C’est du nouveau qu’on donne – C’est du Volnay le plus exquis – C’est égal – C’est égal – C’est elle qui chaque jour – C’est en vain qu’on médit des femmes – C’est fête demain au village – C’est Geneviève dont le nom – C’est ici l’heureux séjour – C’est là ce qui m’étonne – C’est la fille à gros Guillot – C’est la fille à la mèr’ Simone, ou air du manchon – C’est la fille à ma tante, ou ça faite, ça fait toujours plaisir – C’est la fille à Simonette – C’est l’amour, l’amour, l’amour, ou les flic-flac, les rigaudons – C’est la nuit où de France – C’est la petite mendiante – C’est la petite Thérèse, ou allons donc, mademoiselle – C’est la retraite, et rantan plan – C’est l’aveu d’une grande erreur – C’est le gros Thomas – C’est le meilleur homme du monde – C’est l’ermite de la chapelle – C’est le roi Dagobert – C’est le vin, le vin, le vin – C’est le vin seul que j’aime – C’est l’instant du plaisir – C’est lorsque nous avons mis le cerf aux abois – C’est moi qui sais le mieux plaire – C’est moi qui veux vous apprendre – C’est par les yeux que tout s’exprime – C’est par un fil – C’est pour toi que je les arrange – C’est pour vous adorer toujours – C’est son lan la, landerirette – C’est son mirliton, mirliton, mirlitaine – C’est Suzon la camarde – C’est téméraire, c’est imprudent – C’est tout d’même embêtant – C’est un agréable jardin, ou quand je réfléchis à mon sort – C’est un’ bagatelle – C’est une fleur à peine éclose – C’est un enfant – C’est un lanla landerirette – C’est un mauvais cœur, une âme dure – C’est un mélange que la vie – C’est un petit satellite – C’est un propos, c’est un regard – C’est un sorcier – C’est une larme – C’était le soir – C’était Renaud de Montauban – C’était un soir, une voix gémissante – Cet arbre apporté de Provence, ou ainsi jadis un grand prophète – Cet étang, qui s’étend – Cette rudesse apparente – Chacun à son tour – Chacun avec moi l’avoûra – Chacun de son côté – Chacun d’eux court en ce moment – Changer en terrestre séjour – Changez-moi cette tête – Chansonniers, me confrères – Chansons, chansons – Chantez, dansez, amusez-vous – Chantez, joyeux ménestrel – Chantez les charmes du mystère – Chantons, amis, et pour refrain – Chantons, buvons, ce n’est qu’ici – Chantons gaîment la barcarolle – Chantons la capucine, ou glon, glon, glon, la rira dondaine – Chantons lœtamini – Chantons l’Amour et ses plaisirs – Chantons le dieu de la vendange, ou après trente ans d’obéissance – Chantons les matines de Cythère – Chantons l’Hymen, chantons l’Amour – Chantons tous la bonne Lise – Chantons tous à perdre haleine, ou c’est égal – Chaqu’jour vous allez sous l’ombrage – Chaque matin à mon réveil – Chaque nuit mon âme abusée – Charlotte avec ses amis, ou aye, aye, aye Jeannette – Charmant ruisseau, je t’en supplie – Charmant ruisseau, le gazon de tes rives – Charmante Éléonore – Charmante Gabrielle – Charmante Iris, lorsque je bois – Chassant dans les forèts – Ché guesto que mon destin est beau! – Che soave zefiretto, ou approchons-nous en silence – Chasseur diligent – Cher Leyras – Chère Annette, reçois l’hommage – Chérissons, bénissons – Chers camarades, buvons rasades – Chez moi, j’ai su vous accueillir – Choisissons pour philosophie – Ciel! L’univers va-t-il donc se dissoudre? – Claire est espiègle, et cependant – Clic et clac, et va qui roule – Clitie est laide à faire peur – Clochettes de la pagode – C’ n’est pas mon sabot – Cocu, cocu, mon père – Cœurs sensibles, cœrs fidèles – Colas, Colas, sois-moi fidèle – Colin à peine à quinze ans – Colin disait à Lise un jour, ou n’en demandez pas davantage – Colin, s’ra-ce le dernier, ou c’est un’ bagatelle – Colinette au bois s’en alla – Colinette au pied d’un ormeau – Colin, vous êtes trop subtil, ou ah! Prenez pitié de ma flamme – Combien de métamorphoses – Combien j’ai douce souvenance – Combien je suis frais et dispos – Combien je sens d’impatience – Combien ma barbe vénérable – Comédie, comédie – Comme faisaient nos pères – Comme il m’aimait – Comme il me lançait une œillade – Comme j’aime mon Hippolyte – Comme l’a bien dit un auteur – Comme le vin rajeunit la vieillesse – Comme toi cela me chagrine – Comment goûter quelque repos – Comment ici ne pas se plaire – Comme on fait son lit on se couche – Comme Tancrède, pour devise – Comme un chien dans un jeu de quilles – Comme un coucou que l’amour presse – Comme un oiseau – Comm’ v’là qu’est fait! – Compagne de ma tendre enfance – Comtesse, allons plus de défaite – Connaissez mieux le grand Eugène – Connaissez-vous la mèr’ Camus – Connaissez-vous l’amiral Anson, ou tout le long, le long, le long de la rivière – Conservez bien la paix du cœur – Consolez-vous avec les autres – Contentons-nous d’une simple bouteille – Contrainte cruelle – Contre l’amour et la folie – Contre les chagrins de la vie, ou air de la pipe de tabac – Contre Macé, vieille coquette, ou je regardais Madelinette – Contre ces hommes qu’on redoute – Contre un engagement – Corneille nous fait ses adieux – Couci, couça – Courez vite, prenez le patron – Courir toujours après la gloire – Courons de la brune à la blonde – Courons tous attendre au billard – Couvrons de fleurs la faux du temps – Craignez l’erreur qui vous entraîne – Croissez, vigne et fillettes joliettes – Croyez-moi, buvons à longs traits – C’ti-là qu’a pincé Berg-op zoom – Cueillons, cueillons ces cerises nouvelles – Cupidon, las de ses folies – Cupidon s’est fait maréchal –
Daigne écouter l’amant fidèle et tendre – Daignez m’épargner le reste – D’aimer jamais si je fais la folie – Dans ce charmant billet – Dans ce château que Dieu confonde – Dans ce modeste et simple asile – Dans ce salon où du Poussin – Dans ce séjour, asile où l’innocence – Dans ce séjour délicieux – Dans ces présents que de magnificence – Dans ces salons où d’un léger succès – Dans cet asile, ou valse du Barbier de Séville – Dans ces lieux où l’Alan paisible – Dans cette aimable solitude – Dans cet heureux asile – Dans cette belle contrée – Dans de riches appartements – Dans la chambre où naquit Molière – Dans la solitair bourgade – Dans l’âge d’or, tendre ami, douce amie – Dans la paix et l’innocence, ou eh! Ma mère, est-c’ que j’ sais ça? – Dans la Provence, à l’ombre d’un bocage – Dans la rue du Vert-Bois – Dans le service de l’Autriche – Dans l’asile de l’innocence – Dans la vigne à Claudine – Dans le bosquet l’autre matin – Dans le cùur d’une cruelle – Dans le couvent de Saint-Remy, ou faut-il, monsieur, auprès de cous – Dans le désert, une gazelle – Dans le fleuve d’oubli, biribi, je veux boire – Dans le fond d’une écurie – Dans le jardin de la beauté Dans le siècle où nous sommes – Dans les camps, à la ville – Dans les champs de la victoire, ou et qu’est-c’ qu’ ça m’ fait à moi – Dans les défilés des montagnes – Dans les gardes françaises – Dans l’île de Cythère – Dans l’ombre et le mystère – Dans l’pays jour et nuit j’m’exerce – Dans ma cabane obscure – Dans ma chaumière – Air de Doche – Dans ma chaumière obscure – Dans ma jeunesse – Dans ma paisible retraite – Dans mon cœur je sens en ce jour – Dans mon malheur un fils me reste – Dans nos amours soyons prudents – Dans nos hameaux, la paix et l’innocence – Dans notre village – Dansons la Capucine – Dansons la Périgourdine – Dans Paris je suis venu – Dans quel siècle sommes-nous – Dans sa triste retraite – Dans un amoureux délire – Dans un bois je vis l’autre jour – Dans un bois planté par l’Amour – Dans un bois solitaire et sombre – Dans un bosquet j’étais seulette – Dans un délire extrême – Dans un détour, ou sous un ormeau – Dans un solide et juste écrit – Dans un verger Colinette – Dans un vieux château de l’Andalousie – Dans une forêt des Ardennes, ou au fond d’un bois, sous la coudrette – Dans une tour obscure – Dans votre humble servante – De Bacchus la veine est glacée – Débouche encor cette bouteille – Décacheter sur ma porte – De ce bal dont la folie, ou vive la lithographie – De ce linge que je repasse – De ce village – De ce vin, le venin – De cet amour vif et soudain – De cette agréable maison – De cette aimable solitude – De cette femme enchanteresse – De chaque jour je fais ma vie entière – De couplets et de madrigaux – Dedans mon petit réduit, ou la bonne aventure, ô gai! – Dedans Paris il est venu – De garder un secret, l’honneur – Déjà dans la plaine – Déjà du soir l’ombre légère – Déjà la brise du matin – Déjà la nuit de ses voile épais – Déjà le jour qui fuit – Déjà, loin du village – Déjà, sans encombre – De Jean Devair en France – De Jean-Jacques prenons le ton – De Jeanne d’Arc que l’heureux nom – De l’aimable Thémire – De l’amour j’ai subi les lois – De l’amour qui touche votre âme – De la flamme la plus pure – De la France les ennemis – De la langue de Cythère – De la pauvre Isabelle – De la pauvre Laure – De la Savoie, mon doux pays – De la sombre jalousie – De l’esprit, des talents – De l’hymen redoute les chaînes – De l’innocence du village – De l’objet que j’aime – De l’oiseau qui te fait envie – De Louis c’est le digne frère – De ma barque légère – De ma Céline, amant modeste – De ma chanson nouvelle – De ma douceur insigne – Demain, messieurs, reviendrez-vous? – De m’être perdu sur ma route – De mon berger volage – De mon village – De nos jeunes années – De nos moutons le nombre augmente – De notre village – de par la loi – De plaire aux plus rebelles – Depuis la Noël, fête du Seigneur – Depuis le jour j’ai paré ma chaumière – Des cancans, des cancans – De son hymen en ce beau jour – De vos bontés, de son amour – De vos torts et da ma vengeance – De votre bonté généreuse – De ta main tu cueilles le fruit – De temps en temps je sens ma conscience – De ton baiser la douceur passagère – De ton heureuse enfance – De tous les capucins du monde – De tous les dieux que la fable – De tous les dîners, le meilleur, ou c’est du Volnay le plus exquis – De tous ces devoirs pénétrée – De tout temps le jardinage – De sommeiller encor, ma chère – De sa modeste mère – De vous sauver j’aurais beaucoup d’envie – Des bergères du hameau – Des bois aimer la solitude – Des brillants atours qu’il invente – Des beaux jours de notre jeunesse – Des femmes à grands sentiments – Des femme plus d’un censeur – Des fillettes de c’village – Des frelons bravant la piqûre, ou plus on est de fous, plus on rit – Des galants dont le doux langage – Des hommes du siècle présent, ou un prix se donne tous les ans – Des jeux de son enfance, ou vous reverrez, ma chère – Des jours de la jeunesse – Dès l’instant qu’on nous mit en ménage – Dès mon enfance, cet auteur – Dès mon printemps, naïve et confiante – Des plaisirs promis à la terre – Des propos de ruelle – Dès que la riante aurore – Dès que la nuit sombre – Dès que le jour vient de naître – Dès qu’on y pense, dès qu’on y touche – Des simples jeux de son enfance – Des troubadours mon âme éprise – Demain au retour de l’aurore – Depuis le jour où son courage – Depuis longtemps, gentille Annette – Depuis longtemps, j’aimais Adèle – Depuis longtemps j’ai trois mots à vous dire – Depuis longtemps je me suis aperçu – Depuis qu’amour m’inquiète – Depuis trois ans nous faisions l’exercise – Depuis une heure entière – Dérouillons, dérouillons, ma commère – Derrière un lilas – Descends des cieux, dieu du verre – Désir de plaire – Dessous mon menton, je vous en prie – Deux enfants s’aimaient d’amour tendre – Deux jeunes gens d’amour égal – Deux jeunes gens s’aimaient d’amour – Devine-moi – D’ici voyez ce beau domaine – Dieu d’amour – Dieu d’amour, disait Céphise – Dieu de la mollesse – Dieu des amours – Dieu des beaux vers – Dieu l’a donné cet ange tutélaire – Diga, Jeannetto – Diga mé, pastourelletta (air languedocien) – Din don, din don – Disposez, monsieur Sans-Gêne – Dites votre mea culpa – Dix ans de plus dans cette vie – Do, do, l’enfant do, ou Monseigneur, vous ne voyez rien – Dois-je encor chanter tes charmes – Donne à ta pauvre mère – Donnez quelque chose à la fille – Dorilas contre moi des femmes – Doris au lever de l’aurore – Dormez donc, mes chères amours – Dormir est un temps perdu – Dors, chaste fille, appui de notre France – Dors mon enfant, clos ta paupière – Douce amitié, sagesse aimable – Douce jouvencelle – Doux moment – Doux souvenirs de la patrie – Drès que je vis Nicole – D'où venez-vous, ma chère? – D'où vient que, par une pensée – D’puis le temps, mamzel’ Fanchette – Du bon roi Dagobert – Du char traîné par les coursiers d’Espagne – Du ciel pour nous la bonté favorable – Du d’puis q’ j’ons fait connaissance – Du Dieu de la lumière – Du froid avec courage – Du haut de la tourelle – Du haut de nos montagnes – Du haut en bas – Du matin au soir, et contre tous – Du mystère – D’une haute naissance – Du nid charmant caché sous la feuillée – Du partage de la richesse – Du rivage de Vaucluse – Du serin qui te fait envie – Du temple heureux de Cythère – Du Vaudeville, afficheur ordinaire – Du vieux pâtre de la montagne – Du voyageur écoutez la prière – D’un bouquet de romarin, ou je vis Lise hier au soir – D’un époux chéri la tendresse – D’un époux il faudra tenir – D’un jeune plumet vif et tendre – D’un mensonge très innocent – D’un simple refrain quand il chante – D’un tambourin de Provence – D’un’ meunière qui fait trop la fière – D’une abeille toujours chérie – D’une amante abandonnée – D’une certaine façon – D’une simple fleur – D’une voix encore affaiblie – Dupont, mon ami – D’Zannetto montant à l’houspice – Echappé des prisons du Maure – Echo, rends-moi, je t’en conjure – Ecoute, amant triste et jaloux – Ecoute, écoute, écoute, écoute – Ecoute-moi, Magdeleine – Ecoutez une histoire – Ecoutez la prière d'un jeune voyageur – Ecoutez l’aventure d’un pauvre villageois – Ecoutez l’histoire – Ecoutez, peuple de France – Eglé sous un ombrage frais – Eh ! allons vite le mai – Eh bien, maman, tu gardes le silence – Eh ! bien qu’on se dépêche – Eh ! bon, bon, bon, que le vin est bon – Eh ! couci, couça – Eh ! flon, flon, flon, la rira dondaine – Eh ! gai, gai, gai, mon officier, ou chantons, buvons, ce n’est qu’ici – Eh ! lon lan, la, landerirette – Eh ! ma mère, est-c’que j’sais ça? – Eh ! mais, oui-dà – Eh ! mon ami, tout vous accuse – Eh ! que pourrait faire de mieux ? – Eh ! qu’est’c qu’ ça m’ fait à moi – Eh ! quoi, déjà je vois le jour – Eh ! quoi sitôt nous désunir – Eh ! quoi, tout sommeille, ou dieu de la mollesse – Eh ! quoi tu détournes les yeux - Autre air sur les mêmes paroles – Eh ! vogue la galère ! – Eh ! vogue la galère ! – Eh ! ran tan plan tire lire – Eh ! zig, eh ! zig, eh ! zig, eh ! zog – Eh ! zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette – Elle a trahi ses serments et sa foi – Elle a vu seize fois revenir l’hirondelle – Elle aime à rire elle aime à boire – Elle l’aimait si tendrement – Elle m’aima cette belle Aspasie – Elle m’apporte en mariage – Elle va venir! – Eloigné de la foule frivole – Émmielle, puis emplumé – En acceptant la préférence – En affaires comme en voyage – En amour c’est au village – En amour comme en amitié –
En attraits, en beauté – En avant, bon courage – En avant, Fanfan la Tulipe – En badinant – En cajolant sa commère – En ces lieux à peine arrivée – En chantant on nous attire, ou vous soupìrez pour la belle – En chemin, modeste pèlerin – Enclume chérie, ô mes seuls amours – Encor dans l’âge de l’enfance – Encore un mot, ô ma Lucette – Encore un quart’ron, Claudine – Encore une victoire – Encore vit-on – En deux moitiés, dit-on, le sort, ou je ne suis plus de ces vainqueurs – Enfant chéri des dames – Enfant chéri, présent des dieux – Enfant de la ville prochaine – Enfants, c’est moi qui suis Lisette – Enfants de la Provence – Enfants de quinze ans – Enfin donc un ciel plus doux – Enfin je renonce aux délices – Enfin le ciel comble mes vœux – Enfin, v’là donc qu’est bâclé – En France même, je l’espère – En France on trouve aisément – En guerre ces aventures – En jupon court, en blanc corset – En l’honneur du bon Henri-quatre – En la voyant pour la première fois – En naissant promis à Thalie – En proie à sa douleur amère – En proie au chagrin qui me tue – En quatre mots je vais vous conter ça – En r’venant du châtieau, ou j’ai perdu man coutiau – En revenant d’Auvergne – En revenant de Bâle en Suisse – En revenant de Bayonne, ou n’avez-vous pas vu l’horloge – En revenant de Charenton – En revenant de la fête – En revenant de la ville – En revenant de Nivelle – En revenant du village – En traversant un bourg – Enseignez-moi qui l’a – En scène je suis un héros – Entendez-vous, c’est le tambour – Entendez-vous, c’est le tambour – Entendez-vous du bal – Entendez-vous l’archet de la folie – Entends-tu la trompette guerrière – Entends-tu l’appel qui sonne – En tour c’est la fin, dit le sage – En tout pays comme à Paris – En tout pays les femmes sont, dit-on – Entre dans ma tartane, jeune grecque à l’œil noir – Entre nous bons villageuois – Entre sa bouteille et son verre – Entre toi zet lui zet vous zet moi, ou verse encor – En vain j’avais bravé l’Amour – En vain je l’appelle, ou timide et tremblante – En vain par mille apps, ou l’Amour la nuit et le jour – En vain la fortune ennemie – En vain l’aurore – En vain l’aurore – En vain notre siècle prétend – En vain se fait-on violence – En vous voyant il ne m’est pas possible – En voyant fuir le temps de ma jeunesse – Epousons-nous donc, ma reine – Epoux imprudent, fils rebelle – Epoux volage, ta Sophie – Ermite, bon ermite, ou Lisette, ma Lisette – Errant de ville en ville – Escousta, Jeannetto – Espagne, ô ma patrie – Esprit diabolique et malin, ou dites votre meâ culpâ – Est-ce ma faute à moi? – Est-il rien sur la terre, ou quand mon berger me mène – Es-tu bien sensible, toi – Etes-vous de Chantilly – Et c’est la façon de le faire qui fait tout – Et c’est toujours la même chose – Et j’y pris bien du plaisir – Et lon, lan, la, landerirette – Et l’on peut bien pardonner dans la vie – Et non, non, ce n’est pa là Ninette – Et pourtant papa – Et ran tan plan, tambour battant – Et toujours va qui chante – Etourdie, ou qu’un poëte – Etre léger sans inconstance – Etre soumis, tendre et sincère – Et voilà la vie, la vie suivie – Et voilà comme, et voilà justement – Et voilà comme l’homme n’est jamais content – Et voilà comme tout s’arrange – Existe-t-il sur la terre? Ou c’est bien naturel sans doute – Fâchez-vous, ne vous fâchez pas – Faible orpheline et la tristesse au cœur – Faisons ici défense expresse – Faisons la paix – Faites-le bien – Fanchon va par la ville – Fatigué de si longue route – Faut attendre avec patience – Faut chasser la mélancolie – Faut d’la vertu, pas trop n’en faut – Faut-il boire, faut-il aimer – Le même avec le refrain changé – Faut-il donc tant te récrier – Faut-il donc qu’un bon drille, ou vaudeville de Comme ça vient et comme ça passe – Faut-il, hélas! Lui faire un crime – Faut-il, monsieur, auprès de vous – Faut-il qu’en sortant de seconde – Faut l’oublier, disait Colette, ou joli regard, tendre sourire – Faut mieux être jen ménage qu’ d’êt’ garçon – Faut pas heurter – Faut pas vouloir en trop savoir – Félicité passée – Femme dont on parle souvent – Femme jolie, sachez aimer – Femme sensible, entend-tu le ramage – Femme toujours est satisfaite – Femmes, voulez-vous éprouver – Ferme ta paupière – Ferme tes yeux, la fatigue t’accable – Fidèle époux, franc militaire – Fidèle ami de notre enfance – Fidelio, mon doux ami – Fille à qui l’on dit un secret – Fille avant le mariage – Fille céleste, je t’implore – Fille du ciel, séduisant Espérance! – Fille qui tout bas soupire – Filles du hameau – Fillettes, qui dans la retraite – Fillettes, méfiez-vous – Fine coquetterie – Finissez donc, monsieur Simon – Folâtrons, rions sans cesse – Folie, folie, folie – Fleuve du Tage – Flon, flon, flon la rira dondaine – Forme qui voudra des désirs – Fortune en ce monde – Fortune longtemps ennemie – Fortune obscure – Fouler le bitume – Foulons la fougère – Fournissez un canal au ruisseau – Frère Amour en capuchon – Français et militaire – Français, Français le verre en main – Français, quel est ce chevalier – Français, au trône de ses pères – Français, qui chérissez vos dames – Frère Jacques, dormez-vous? – Frère Pierre à la cuisine, ou vaudeville de Jean Monet – Fut-il au printemps de mon âge – Fuyant et la ville et la cour, ou comme j’aime mon Hippolyte – Fuyons cette ville charmante – Gai, gai, c’est l’amitié – Gai, gai, mariez-vous – Gai, coco, gai, coco, hiou – Gai, coco, qu’un joyeux refrain – Gai Démocrite, qu vécus – Gai, gai, gai, que chacun prouve – Gais enfants de la montagne – Gais enfants du Canal, répétez mon refrain – Gaîment ja m’accommode de tout – Gais ménestrel et galants troubadours – Garde à vous, garde à vous – Garde marine à Rochefort – Gastibelza, l’homme à la carabine – Gentil houzard, sur l’aride bruyère – Gentille bachelette – Gentille boulangère – Gentille brunette – Gentille pastourelle – Geneviève, à bon droit, passa – God save the king – Gott erhalte Trany den kayser – Gouvernante, cuisinière – Gnia du plaisir avec l’amour – Gnia que Paris, g’n’y a que Paris – Gnia plus d’enfants – Gniaq, gniaq, gniaq – Grâce à la mode – Grâce à tant de tromperies – Grand dieu! Qu’as-tu donc, mon enfant? – Guernadier, que tu m’affliges – Guide mes pas, ô Providence – Guillot a des yeux complaisants, ou je connais un berger discret – Guillot auprès de Guillemette – Guillot un jour trouva Lisette – Gusman ne connaît point d’obstacle –
Habitants de bords de l’Adour – Haguenier n’a rien – Haine à l’amour, haine à l’amour, haine à Bacchus – Haïss’ les femmes qui voudra – Halte-là, la garde royale est là – Haute et puissante châtelaine – Hélas! Jeannette, ou Édouard t’implore – Hélas! Je la voyais, jétais seul avec elle – Hélas! Ne tremblons pas – Hélas! Quand on est en prison – Hélas! Vient-il charmer le cœur – ERmite, bon ermite – Héros français peuple vaillant – Heureuse innocence – Heureux climat, beau viel de l’Italie – Heureux habitants des montagnes – Heureux qui dans sa maisonnette – Heureux qui ne respire – Heureux qui sans soins, sans envie – Hier, dans un joyeux délire – Hier matin en m’éveillant – Holà, fillette brune et blanche – Honneur à ces preux chevaliers – Honneur à monsieur Joli-cœur – Honneur à qui veut épurer – Honneur, honneur à l’hôte aimable – Honneur, honneur à l’illustre devin – Honneur, honneur au vieillard de Théos – Honneur, gaîté – Honneurs, vaines grandeurs – Honorons la vaillance – Husca, brise ma chaîne – Ici chacun fait et dit de l’esprit – Ici dans l’instant même – Ici j’ai d’être entendu – Ici je fonde une abbaye – Ici nous ne voyons personne – Il a cinquante écus comptant – Il a fait un voyage – Il a voulu, il n’a pas pu – Il aime à rire, il aime à boire – Il aime tant sa douce ammie – Il est certain qu’un jour de l’autre mois – Il est des amusements – Il est deux Jean dans ce bas monde – Il est, dit-on, un beau jeune homme – Il est donc vrai, Lucile, ou jeune et novice encore – Il est encor des belles – Il est flatteur d’épouser celle – Il est mal que l’amour attache – Il est naturel d’enflammer – Il est parti loin de sa mie – Il est sauvé, destin prospère! – Il est toujours le même – Il est temps, ma chère sonnette – Il est trop tard – Il est vrai que Thibault mérite – Il est un âge où l’on s’ignore – Il est un Dieu pour les auteurs – Il est une douce prison – Il était charmant et bien fait – Il était là sur cette herbe fleurie – Il était temps – Il était temps – Il était un oiseau gris – Il était un p’tit homme, ou tôt tôt carabo – Il était un p’tit moine, ou je vins jadis au monde – Il était un roi d’Yvetot – Il était une femme – Il était un’ fois un’ princesse – Il était une fille – Il était une fillette – Il était une jeune fille – Il était un vieux bonhomme – Il existe un objet charmant – Il faut aimer, c’est la loi de Cythère – Il faut des ailes à l’Amour – Il faut des époux assortis – Il faut donc fuir le village – I faut donc fuir le village – Il faut donc fuir ma patrie – Il faut être seul pour penser – Il faut gaîment passer la vie – Il faut gaîment passer ses jours – Il faut l’aimer – Il faut quand on aime une fois – Il faut que l’on file, file – Il faut quitter ce que j’adore, ou si Pauline est dans l’indigence – Il faut réfléchir à loisir – Il faut se marier – Il faut s’aimer toujours – Il l’attrap’ra, il l’attrap’ra – Il m’a demandé le bouquet – Il marche à l’immortalité – Il m’avait fait la promesse – Il me faudra quitter l’empire – Il me faut, sans cérémonie – Il m’en faut une, ou Ah! C’est ma femme – Il m’en souvient, longtemps ce jour – Il m’en souvient toujours – Il ne faut pas dire fontaine – Il neigeait dans la plaine – Il n’en est point de généreux, ou vaudeville d’Abuzard – Il ne s’offre à nous qu’en tremblant – Il n’est pas de bonne fête sans lendemain – Il n’est pas d’ pir’ revenant – Il n’est pas d’étroit séjour, ou sortez à l’instant, sortez – Il n’est pas temps de nous quitter – Il n’est pire que l’eau qui dort – Il n’est point de plaisir, de bonheur sans amour – Il n’est point de vrais biens au monde – Il n’est point de fleurettes, sans la printemps – Il n’est qu’un pas du mal au bien – Il n’est qu’un seul Paris – Il n’est qu’une chose au monde – Il n’est rien de plus doux au monde – Il pleut, il pleut, bergère – Il porte l’épée et la lyre – Il reçut au sein de la gloire – Il suffit qu’ça me plaise – Il va venir! Il va venir! – Il vous baise la bouche – Il vous dit qu’il vous aime – Il y a cinquante ans et plus – I’ n’ veut pas m’instruire – Ils ne sont plus les fils de la Victoire – Infortuné, j’ai commandé sa mort – Insensés, nous ne voyons pas, ou et voilà comme l’homme – Intégrité, franchise – In vino veritas – Iris, je vous aime – Iris, Thémire et Danaé – Issu de tige champêtre –
Jadis à table entre les pots – Jadis l’Amour était constant – Jadis privé de sa couronne – Jadis quand fille aimait – Jadis un célèbre empereur – Jadis vivait en Normandie – J’ai bientôt quatorze ans – J’ai des talents charmants – J’ai des vapeurs – J’ai d’ l’argent, j’ai d’ l’argent – J’ai du bon tabac, ou père capucin – J’ai du Jura gravi le faîte – J’ai Grégoire pour nom de guerre – J’ai marié ma fille en Perse – J’ai parcouru le monde entier – J’ai parfois entendu parler – J’ai perdu mon âne Sophie – J’ai quitté la montagne – J’ai quitté ma belle patrie – J’ai rêvé que deux militaires – J’ai rêvé toute la nuit, ou souvenez-vous-en – J’ai r’trouvé man coutiau – J’ai toujours, Bacchus – J’ai vu dans la plaine – J’ai vu la meunière en passant – J’ai vu le Parnasse des dames – J’ai vu Lise Hier au soir – J’ai vu Mars descendre en cadence – J’ai vu partout dans mes voyages – Air fait sur les mêmes paroles, par Plantade – J’ai vu Sylvie, et la cruelle – J’ai vu Zéphire ce matin – J’aimais surtout à la maison – J’aime à jouer avec les Grâces – J’aime à la folie cette danse hardie – J’aime à te voir, cher médecin – J’aime Bacchus, j’aime Nanon – J’aime la force dans le vin – J’aiime ce mot de gentillesse, ou pour moi, je sens que sur la terre – J’aime les amours, qui toujours – J’aime Rosette à la folie – J’aime une ingrate beauté – J’aimons avant tout l’honneur – J’aimons que l’on chante gaîment, ou comme faisaient nos pères – J’aimons les filles – Jamais je n’aurai la faiblesse – Jamais je n’aurai la faiblesse – Jamais je n’oublîrai – Jamais l’aimable Narcisse – Jamais, jamais, disait à son amie – Jambe au tour, piquante tournure – J’apprends qu’un jeune prisonnier – Jardinier, ne vois-tu pas? – Jarni, la bonne aubaine! – J’arrive à pied de province – J’arrive ici de Rome – J’attendais dans l’impatience – J’aurai bientôt quatre-vingts ans – Autre air sur les mêmes paroles – J’avais à peine dix-sept ans – J’avais bien du chagrin – J’avais juré que la plus belle – J’avais toujours gardé mon cœur, ou ne v’là t-il pas que j’aime – J’avais égaré mon fuseau – J’avais cent francs – J’avais mis mon petit chapeau – J’avais cinquante ans et plus – J’avais pris femme laide – J’avais raison de craindre sa présence – J’commençons à m’apercevoir – J’courons de la brune à la blonde – J’n’avions pas encor quatorze ans – J’en guette un petit de mon âge – Jean de la Téole, mon ami, ou avec Colas, mon gros cousin – Jeanne est la belle – Jeanneton prend sa faucille – Je bois à ma brune, ou eh! Vogue la galère – Je brûle de voir ce château, ou dès qu’on y touche – Je cherche en vain la vérité – Je connais un berger discret – Je crois bien que si je voulions plaire, ou dessous mon menton, je vous en prie – Je crains de lui parler la nuit, ou mon père veut me marier – Je crois encore au sort flatteur, ou abbé dé licat et galant – Je dois l’avouer sans détour – Je dois pourtant en convenir, ou vous ne prononcez plus Edouard – Je crois encore au sort flatteur, ou abbé délicat et galant – Je dois l’avouer sans détour – Je dois pourtant en convenir, ou vous ne prononcez plus Edouard – Je fais serment d’être fidèle – Je fus orpheline à quinze ans – Je hais les dez, es cartes, le tric-trac – Je la connais – Je l’ai planté, je l’ai vu naître – Je l;aime en vain, l’ingrate, de mes larmes – Je le compare avec Louis, ou quand on est deux et quand on s’aime – Je le tiens, ce nid de fauvette – Je le veux, dit d’une voix tendre – Je loge au quatrième étage – Je m’appel’ Boniface Blaise – Je m’avançais avec courage – Je me creusais la cervelle, ou tra-de-ri-de-ra, là, là, là, là – Je m’en moque – Je me sens né pour la guerre – Je me suis levé par un matin – Je meurs d’amour – J’en ouvrais – Je n’ saurais danser – Je n’ai jamais aimé personne de ma vie – Je n’ai pas encore quinze ans – Je n’ai pas l’emploi magnifique – Je n’ai pour toute maison – Je n’ai trouvé que des ingrats, ou consolez-vous avec les autres – Je n’aimais pas le tabac beaucoup – Je n’aime pas qu’on me répète – Je n’aimerai jamais, disait une bergère – Je n’aime pas une grille – J’en conviens, j’ai l’humeur volage – Je ne croyais pas possible – Je ne forme point de désirs – Je ne me souviens qu’à peine – Je n’entends rien – Je ne puis plus me reconnaître – Je n’ sais pas pourquoi – Je ne suis, hélas! Que Suzanne – Je ne suis né ni roi, ni prince – Je ne suis pas si diable que je suis noir – Je ne suis plus dans l’ignorance – Je n’aimerai jamais, disait une bergère – Je n’aime pas une grille – J’en conviens, j’ai l’humeur volage – Je ne croyais pas possible – Je ne forme point de désirs – Je ne me souviens qu’à peine – Je n’entends rien – Je ne puis plus me reconnaître – Je n’ sais pas pourquoi – Je ne suis, hélas! Que Suzanne – Je ne suis né ni roi, ni prince – Je ne suis pas si diable que je suis noir – Je ne suis plus dans l’ignorance – Je ne suis plus de ces vainqueurs – Je ne trouve rien de charmant – Je ne veux la mort de personne – Je ne veux pas qu’on me prenne – Je ne veux pas vous regarder, ou si ça t’arrive encore – Je ne vis que chez le notaire – Je ne vois que des gens grossiers – Je ne vous dirai pas j’aime – Je ne vous vois jamais rêveuse – J’entends et la grêle et la pluie – Je pars, déjà de toutes parts – Je pars demain, il faut quitter Marie – Je pense à vous quand de la douce Aurore – Je pense à vous lorsque la jeune Aurore – Je possédais la jeune Aglaure – Je puis sans quitter le quartier – Je connais ce triste bocage – Je regardais Madelinette – Je retourne au village – Je reviens de la guerre, j’ m’en f. – Je sais attacher des rubans - Je sais que parfois à table – Je sais qu’une fois dans le vie, ou mais ce n’est pas pour aujourd’hui – Je sais qu’interrogeant son cœur – Je sens combien cet effort est pénible – Je sens qu’en ce péril extrême – Je sens que je viens de commettre – Je suis aussi fraîche que l’Aube – Je suis carmélite, moi, ou du vaudeville – Je suis charmé maintenant de lui plaire – Je suis gaillard, je suis joyeux – Je suis colère et boudeuse – Je suis Cosaque, fils des combats – Je suis du pays des montagnes – Je suis encor dans mon printemps – Je suis encor jeune à mon âge – Je suis enfin résolu – Je suis heureux en tout, mademoiselle – Je suis joyeux, je suis toujours gaillard – Je suis la bohémienne – Je suis la gouvernante – Je suis le petit tambour de la gard’ nationale – Je suis Lindor – Je suis Madelon Friquet – Je suis maître d’équipage – Je suis modeste et soumise – Je suis né natif de Ferrare – Je suis né pour le plaisir, ou dormir est un temps perdu – Je suis née au village – Je suis prisonnière – Je suis riche et toi jolie – Je suis riche, vous êtes belle – Je suis sage, j’obtiens la rose – Je suis sergent – Je suis simple, née au village – Je suis soumis, depuis longtemps, ou je ne trouve rien de charmant – Je suis un bon soldat – Je suis un bûcheron – Je suis un chasseur plein d’adresse – Je suis un diable à quatre – Je suis un garçon sans façon – Je suis un marchand épicier, ou qui veut entendre une chanson – Je suis un précepteur d’amour – Je suis vertueuse – Je suis votre ami, koui,koui, koui – Je t’aimais d’une ardeur sincère, ou Amour, ne les brouille jamais – Je t’aimerai – Je taimerai – Je t’aime, et n’ose te le dire – Je t’aime, hélas! Et n’ose te le dire – Je t’aime tant – Air de Garat – Air de Louis Jadin – Air du baron T*** – Je te perds, fugitive espérance – Je te salue, ô Dieu, protecteur des humains – Je touche enfin ce fortuné rivage – Je tremble en approchant d’Estelle – Je te salue, humble hameau – Je trouve une femme jolie – Je vais bientôt quitter l’empire – Je vais commencer à présent – Je vais dîner au veau qui tette – Je vais la voir, et d’un pas lent – Je vais vous conter l’aventure – Je verai donc à chaque instant – Je veux au bout d’une campagne, ou et r’li et r’lan, tambour battant – Je veux croire qu’en effet – Je veux que l’on me serve à table – Je viens devant vous – Je viens devant vous – Je viens de voir notre comtesse – Je viens pour donner, non pour vendre – Je viens te fair’ mes adieux – Je vins jadis au monde – Je vis Lise hier au soir – Je vogue en chantant mes amours – Je vois un’ jeune fille – Je vois des jaloux en Espagne – Je voudrais bien le deviner – Je voudrais voir à chaque instant – Je voulais bien, je voulais bien – Je vous aime, et vous m’estimez – Je vous aime, et vous m’estimez – Je vous dis qu’il est d’vant mes yeux – Je vous comprendrai toujours bien – Je vous trouve plus belle – Je vous salue, ô lieux charmants – Je voyais, sans être inquiète – J’vous prêterai mon manchon – J’éprouve comme vous – J’espère à vos parents – J’étais assis derrière une haie – J’étais assise au pied d’un chêne – J’étais bon chasseur autrefois – J’étais gisant à cette place – J’étais près d’Inel, que j’adore – J’étais seul encor dans la vie – J’étais vive, j’étais légère – Jetez les yeux sur cette lettre, ou craignez l’erreur qui vous entraîne – Jetez les yeux sur ce portrait – Jeune fille aux yeux noirs – Jeune et gentille bergerette – Jeune et novice encore – Jeune fille et jeune garçon – Jeune amants, cueillez des fleurs – Jeunes amants, époux barbons – Jeunes beautés au regard tendre – Jeunes beautés, vous à qui la nature – Jeunes filles, méfiez-vous – Jeunes filles qu’on marie – Jenn’s amants, v’nez sur nos pas – Jeux, plaisirs, amours et ris – J’ignore quelle est ma naissance – J’obtiens le prix de ma tendresse, ou r’lan tan plan, tambour battant – J’obtiens ta main, ma chère Agathe – J’ons un curé patriote – Joli regard, tendre sourire – Joseph est bien marié – Jouissons du plaisir – Jour et nuit, nuit et jour – Joyeux disciple d’Epicure – Joyeux enfant de la Garonne – Joyeux enfants de la bouteille – Joyeux enfants du vaudeville – Julie est sans désirs – Jupin, dès le matin – Jupiter, prête-moi ta foudre – Jupiter un jour en fureur – Jusque dans la moindre chose – Juste ciel! Je découvre – J’y pense encore, et je veux l’oublier – J’y songerai toute ma vie – J’veux être un chien – J’voyons renaître enfin –
La bachelette du vallon – La velle Bourbonnaise – La belle Inès fait florès – La belle nuit, la belle fête – La biondina in gondoleta, ou prennt le plaisir pour guide – La bonne aventure ô gué, ou de dans mon petit réduit – La bonne chère et le bon vin – La bonne chose que le vin, ou air du verre – La bonne foi fut ma chimère – La boulangère a des écus – La Bourbonnaise quitte son pays – La Brigantine qui va tourner – La chanson que chantait Lisette – La chose ne vaut pas le mot – La comédie est un miroir – La comédie est une grande salle – La critique afflige un auteur – La danse n’est pas ca que j’aime – La députation était bien honorable – La disciplin’ n’est pas sage – La douce clarté de l’aurore – La farira dondaine, gai, la farira don dé – La farira dondaine, la fari don don – La femme à notre ombre ressemble, ou chacun à son tour – La femme de mon procureur – La fête des bonnes gens – La fille au coupeur de paille – La fille est pour le garçon – La fleur de la chevalerie – La foi que vous m’aviez promis – La fuite en Egypte jadis – La garde passe, il est minuit – La garde royale est là – La grosse Agathe est bien gentille – L’air des Robins déplaît aux belles – La jeune Hortense, au fond d’un vert bocage – Autre air sur les mêmes paroles – La jeune Iris dans un bocage, ou il l’attrap’ra – La jeune Iris, la fleur de nos campagnes – La jeune Isabelle – La jeune et sensible Isabelle – La jeune Lisette – La liberté préside – La loterie est la chance – La lumière la plus pure – La maîtresse nouvelle – La marmotte a mal au pied – La mer m’attend, je veux partir demain – La nature, guide fidèle – La nuit poursuit son cours – La nuit, quand j’pense à Jeannette – La plus belle promenade – La première nuit, j’ai rêve – La reconnaissance – La reine Yseult aux blanches mains – La résistance est inutile, ou dans la chambre où naquit Molière – La rime aux maris pleins de zèle –La rose et le bouton d’amourette – La séance est terminée, ou ballet de l’Epreuve villageoise – La signora malade, ou à vot’ santé, monsieur, touchez là – La sympathie est le lien des âmes – La terre autour du soleil tourne – La trop innocente Collete, ou comme v’là qu’est fait – La verte jeunesse – La vertu seule est la lumière – La Victoire, en chantant, nous oubre la barrière – La vie est comme un jardin, ou tout ça passe en même temps – La vie est un voyage – L’abbé, si je ne me rendas pas – L’âge a su borner nos désirs – L’agniel qué m’as dounat – L’air est sans nuage – L’airain vient de sonner minuit – Laire la, laire lan laire – Laisse en paix le dieu des combats – L’amant charmé de l’ovjet qui l’engage – L’amant fidèle, ou Tireis aimable – L’amant frivole et collage – L’ami e son enfance – L’amitié des nœuds les plus doux – L’amitié vive et pure – L’Amour a gagné sa cause – L’Amour aura soin de t’instruire – L’Amour aux champs règne sans imposture – L’Amour caché dans un buisson – L’amour charmait ma vie – L’amour constant, l’hymen joyeux, ou si je n’avons pa – L’Amour courait cherchant pratique – L’amour dans le cœur d’un Français – L’amour donne de la mémoire – L’amour est chose tant jolie – L’amour est de tout âge – L’Amour est un chien de vaurien – L’Amour est un dieu volage – L’Amour est un enfant trompeur – L’amour est une amusette – L’amour galant, c’est mon usage, ou elle m’apporte en mariage – L’amour la nuit et le jour – L’Amour m’a fait la peinture – L’amour me ramène – L’amour me tourne la tête – L’Amour pour prix de ma défaite – L’amour qu’Edmond a su me taire – L’Amour retourne sur ses pas – L’Amour s’enfuit, dame Cypris – L’amour vient donc sans qu’on y pense – Lampon, camarades, lampons – Lance en arrêt, casque fermé – L’an mil sept cent vingt et neuf, ou air de la complainte de l’Enfant prodigue – L’archet résonne, et l’orchestre commence – L’art à l’amour est favorable – Las! Il fuit loin de son amie – L’astre de la philosophie – L’astre des nuits dans son paisible éclat – L’attrait qui fait chérir ces lieux – L’aube riante annonçait le matin – L’aurore, qui dore – L’austère philosophie – L’aut’ jour Lisette allait au champ – L’autr’ jour à Fanchon j’dis: Ma fille – L’autre jour, à la promenade – L’autre jour Blaise m’embrassa – L’autre jour dans la prairie – L’autre jour de vêpres sortant – L’autre jour, en badinant – L’autre jour, en jouant aux quilles – L’autre jour, étant assis – L’autre jour j’aperçus Lisette – L’autre jour je rencontrai – L’autre jour j’étais seulette, ou écoutez, j’vous en congre – L’autre jour la bergère Annette – L’autre jour, la p’tit’ Isabelle – L’autre jour le bieau Lucas, ou mon p’tit cœur, vous n’ m’aimez guère – L’autre jour, prenant le frais – L’autre jour sur le bord de l’ieau, ou un beau jour, sur le bord de l’eau – L’autre jour une idiote – L’autre nuit je réfléchissais – L’aveu m’échappe malgré moi – L’avez-vous vu, mon bien-aimé – Léandre, conduit par l’Amour – Le bal, le bal, toujours le bal – Le bal s’apprête – Le bandeau qui couvrait ma vne – Le beau Lycas aimait Thémire – Le beau pays de France – Le beau Pédrille, amant triste et bien tendre – Le bon vieillard de Gaillarbois – Le bon vin, jus divin – Le bonheur de la vie – Le bonheur de Pierrot – Le briquet frappe la pierre – Le calme de la nuit – Le chevalier, le troubadour – Le choix que fait tout le village – Le ciel enfin prend pitié de la France – Le ciel et noir, l’orage gronde – Le ciel est sans nuage – Le ciel nous a placés dans des rangs – Le clair de lune – Le cœur de la jeune Lisette – Le cœur à la danse, un rigaudon, zig, zag, don, don – Le cœur de mon Annette, ou eh! Mais, oui-dà – Le cœur que tu m’avais donné – Le connais-tu ,ma chère Éléonore, ou triste raison – Le curé de notre village – Le Czar Iwan qui règne en Moscovie – Le démon, malicieux et fin – Le Dieu de la tendresse – Le doux printemps se lève – Le fameux Diogène – Le fat jamais ne fait que nous montrer – Le fils à Guillaume – Le Gondolier fidèle – Le grand seigneur, jaloux de ses sultanes, ou tire lire, li, tontaine – Le gros meunier Simon Marin – Le guerrier qui aime la gloire – Le joli jeu d’amour n’a pas besoin du jour – Le jour, chantant l’amour – Le jour de Saint-Crépin, mon cousin – Le jour heureux qui m’offrit mon Hortense – Le long d’un bois, Colin passait – Le luth galant qui chanta les amours – Le luxe de ce beau danseur – Le magistrat irréprochable – Le maître de cette maison – Le même cas advint jadis – Le mois de mai se couronne de roses – Le mois de mai vient de paraître – Le mois passé la jeune Laure – Le monde est ma patrie – Le myrte au front, le verre en main – Le noble éclat du diadème – Le pauvre temps – Le petit mot pour rire – Le petit garçon que voilà – Le plaisir ô cette table – Le plaisir couronné de fleurs – Le plaisir des rois – L’plaisir sous l’ombrage – Le point d’honneur, le mariage – Le point du jour – Le port Mahon est pris – Le premier du mois de janvier, ou accompagné de plusieurs autres – Le premier du mois de mai – Le premier instant qu’à ma vue – Le premier jour qu’il vint chez nous – Le premier jour qu’on aime – Le premier pas – Le preux Bayard, dans la lice guerrière –Le propre jour de Saint Simon – Le punch et le vin que j’ai pris – Le saint, craignant de pécher – Le savetier matineux – Le seigneur du château voisin – Le singulier récit qu’ici je viens d’entendre – Le sommeil fuyait de mes yeux – Le soir, après pénible ouvrage, ou fidèle ami de notre enfance – Le temps passé n’est qu’un vain songe – Le temps présent est une fleur – Le troubadour, fier de son doux servage – Le trouble et la frayeur dont mon âme est atteinte – L’étude est inutile – Le vieux Silène à ses amis – Le vigilant Derviche à la prière appelle – Le vin charme tous les esprits – Le vin par sa douce chaleur – Le voilà de retour, ou c’est l’instant du plaisir – L’encens des fleurs embaume est asile – Léon semble éviter mes pas – L’époux n’est pas longtemps atteint – L’époux qui gémit tous les jours – L’équipage le plus en usage, ou une fille qui toujours sautille – Les Auvergnats dans leur pays – Les cafés se garnissent – Les cloches du monastère – Les combats de la jeune Hortense – Les couscous sont gras – Les cruels ravage du temps – Les filles de notre village – Les flic flac, les rigaudons – Les filletes au village, ou vos maris en Palestine – Les Grâces un jour à Cythère – Les hommes perdent la raison – Les lièvres, les lapins – Les murs élevés d’un vieux fort – Les plaisirs de notre village – Les plaisirs volaient sur mes traces – Les revenants n’aiment pas les militaires – Les sonnettes dans ce monde – Les talents appellent les Grâces – Les tours que font messieurs les pages – Les Turcs inondant nos rivages – Lestement quand on est jeune – L’étude est inutile – L’heure avance où je dois mourir – L’heure, la nuit, tout m’est propice – L’heure nous appelle – L’homme, dont la vie entière – L’homme est honnête – L’homme inquiet et défiant – L’homme n’est pas ce qu’il s’affiche, ou ah! Comme on trompe dans ce monde – L’hymen est un lien charmant, ou air des compagnons de voyage – L’Ile d’Amour c’est un amour d’îke – L’illustre Diogène – L’image de ce qu’on aime – L'innocence est le rêve heureux – L’instant d’après – Librement à tort, à travers, dans mes vers – Lieux sauvages, tristes climats – Linval aimait Arsène – Lise chantait dans la prairie, ou la chanson que chantait Lisette – Lise de nande son portrait – Lise, entends-tu l’orage – Lise épouse l’beau Germance – Lise était dans osn aurore – Lise montait élégamment – Lisette a des appas, ou eh! Zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette – Lisette à son amie – Lisette est faite pour Colin, ou quand je vous ai donné mon coeur – Lisis avait de la jeunesse – Lison dormait dans un bocage – Lison guettait une fauvette – Lison revenait du village – Lison voyait deux pigeons se baiser – Lison r’fusa plus d’un amant – Livrons-nous à la tendresse – Loin des grandeurs je vis le jour, ou celui qui fait un choix heureux – Loin des rayons brûlants du jour – Loin de l’éclat du diadème – Loin de l’objet de ma tendresse – Loin de moi volez, tendre Amour – Loin de nous à t’enrichir – Loin de songer à nous unir – Loin de vous, quand près d’une belle – Loin de yeux de l’envie – Loin des yeux de Nanette – Loin du hameau, la jeune Lise – Loin du monde et de ses appas – Loin du pays de Galibis – Loin du tumulte et de la guerre – L’ombre s’evapore – Longtemps la beauté – Lon lan la derirette – L’on m’a dit qu’au rocher d’Cancale – Longue est la liste des cocus – L’opulence, la puissance, ou comédie, comédie – L’or est und chimère – Lorsque dans une tour obscure – Lorsque Dieu fit Adam, ou croissez, vigne et fillettes joliettes – Lorsque je parvins à cetâge – Lorsque je pense à la beauté touchante – Lorsque j’entends dire du mal des bêtes – Lorsque l’hiver enchaîne les flots – Lorsque l’Hymen et les Amours – Lorsque le champagne – Lorsque la gloire vous appelle – Lorsque l’église – Lorsque l’on s’aime tendrement – Lorsque tu t’éloignes de moi – Lorsque vous payez mes services – Lorsque Zoé quitter caze – Lorsqu’ici pêle-mêle, ou marionnettes joliettes, en avant – Lorsqu’un acteur et qu’une actrice, ou sans compliment – Lorsqu’un soldat aime une belle – Lorsque vous verrez un amant – Lubin à son mariage – Lubin a la préférence – Lubin, de la forêt prochaine – Lubin dit qu’il vous aime – Lubin est d’une figure – Lubin, pour me prévenir – Lucas un jour en son chemin – Lucrève eut une âme tendre – L’un de ces jours mes moutons s’égarèrenet – L’un est le fils du sentiment, ou tu ne vois pas, jeune imprudent – L’univers fléchit sous ma loi – Lycidas contre moi des femmes –
Ma belle est la belle des belles – Ma bouteille et ma brune – Ma commère, quand je danse – Ma Doris un jour s’égara – Ma Fanchette est charmante – Ma foi, c’est un triste soldat – Ma foi, de ce château royal – Ma mie Babichon, ou je n’sais pas pourquoi – Ma maîtresse pleure un mari – Ma maîtresse Zélie – Ma mère aux vignes m’envoyit – Ma mèr’ qu’était prudente et sage – Ma mie, ma douce amie – Ma mie, ô vous que j’adore – Ma peine a devancé l’aurore – Ma raison allait faire naufrage, ou j’étais assis derrière une haie – Ma science était dans mon âm – Ma voix t’appelle, ô ma tant douce amie – Ma Zétulbé, viens régner sur mon âme – Madame, de temps en temps – Madeleine à bon droit passa – M’aimeras-tu? – Mais alors en Autriche – Mais d’où me vient tant de langueur? – Mais d’où naît ce trouble secret – Mais ce n’est pas pour aujourd’hui – Mais comment résister? Pour guider ma jeunesse – Mais Frédéric, vous l’ignorez peut-être – Mais l’homme instruit, j’espère – Mais un Français jamais ne se déguise – Maître d’un joli jardinet – Mal que j’ignore – Malborouck s’en va-t-en guerre – Malgré la bataille, ou ah! Si vous aviez vu monsieur de Catinat – Malgré le cas que vous en faites – Malgré l’éclat de l’opulence – Malgré moi le sentiment – Maltraité par Julie – Maman dit que l’Amour est traître – Maman, grondez-moi pour deux fois – Maman, mariez-nous – Maman vous a dit dans six ans – Marcher au plaisir – Margot filait tranquillement – Marionnettes joliettes, en avant, ou puisque dans setter vie – Maris, du qui l’esprit morose – Maris jaloux, vous avez tort – Maris qui voulez fuir l’affront – Mars à l’Amour est favorable – Mars et l’Amour en tous lieux – Mars et l’Amour en tons lieux – Marthe la brune avait trois amoureux – Me voilà, me voilà – M’entendez-vous? Comprenez-vous? – Mère qui tient un jeune objet – Merveilleuse dans ses vertus – Mes amis c’est dans sa patrie – Mes amis, je dois vous le dire – Mes amis, nos coupes sont pleines – Mes beaux jours se sont écoulés – Mes chers amis, voulez-cous m’enseigner, ou nargue de ceux – Mes chers amis, dans cette vie, ou pour obtenir celle qu’il aime – Mes chers enfants, unissez-vous – Mes enfants, après la pluie – Messieurs, à table êtes-vous prêts? – Messieurs, vous plaît-il d’ouïr – Mes amis, écoutez l’histoire – Mes très honorés confrères – Mes trois femmes étaient veuves – Mes yeux s’ouvrent à peine – Mi, mi, fa ré, mi, chantez mon petit – Mire dans le puits tes yeux, ou mire dans mes yeux tes yeux – Moi d’même – Moi, j’aime la danse – Moi, qui jadis eus la gloire – Moi, qui jamais ne jeûne – Moi, qui même auprès des belles – Mon ami, combien tu t’abuses – Mon ami, daignez parler mieux – Mon ami, je vous rends justic – Mon amour en vaut la peine – Mon attente sera remplie – Mon avis est le vôtre – Mon bètit Franzois – Mon cher ami, ces trois mots de tendresse – Mon cher ami, je t’interpelle – Mon cher Arlequin, dis-moi – Mon cher, il faut pour mettre en défaut – Mon coeur à l’espoir s’abandonne – Mon coeur, charmé de sa chaîne – Mon coeur soupire dès l’aurore, ou ah! Dis-moi comment on appelle – Mon cousin, je vous en prie – Mon Dieu, mon Dieu, comme à c'te fête – Mon Dieu, mon Dieu, pour un vieillard – Mon galoubet, mon galoubet – Mon goût seul dirige ma vie – Mon honneur dit que je serais coupable – Mon jeune coeur palpite, ou Lise, entends-tu l’orage? – Mon jeune page, un jour m’invite – Mon maître à danser fait mon bonheur – Mon père a fait mon mariage – Mon père, aussi ma mère – Mon père, aussi ma mère – Mon père avait dans sa jeunesse – Mon père, avait dans sa jeunesse – Mon père avait terni sa gloire – Mon père, en mariage – Mon père était pot – Mon père était savetier – Mon père, hélas! Est loin de moi – Mon pè, je viens devant vous – Mon père n’est plus le concierge, ou serait-ce l’ami que, sans cesse – Mon père, souffrez qu’en ce lieu – Mon père n’est plus le concierge, ou serait-ce l’ami que, sans cesse – Mon père, souffrez qu’en ce lieu – Mon père veut me marier – Mon père vint me dire un jour – Mon pèr’ m’a donné un mari, ou vaudeville des Gascons – Mon perroquet, dont le langage – Mon petit coeur à chaque instant soupire – Mon p’tit coeur, vous n’ m’aimez guère – Mon petit mari, tu seras chéris – Mon système est d’aimer le bon vin – Monseigneur d’Orléans – Monseigneur, Lubin m’aime – Monseigneur, vous ne voyez rien – Monsieur Champagne a la mine imposante – Monsieur Charlot, ou j’avais cent francs – Monsieur d’ la Palisse est mort – Monsieur, je remplis mon devoir – Monsieur l’curé, n’espérez plus – Monsieur le curé, ma femme est morte, ou vive un tambourin qui nous réveille – Monsieur le prévôt des marchands – Monsieur Robert est de ces gens – Montagnard ou berger – Montrons-nous, ma soeur, tell’s que nous sommes – Morgué, que ta mère est sauvage – Muse des jeux et des accords champêtres –
N’abuse pas de mes aveux – Nage toujours, mais n’ t’y fie pas – N’ai plus d’amour – Naissez, mes vers, soulagez mes douleurs – N’allez pas dans la forê Noire – N’allez point u bois seulette, ou ah! Cessez, cessez, mon père – Nanon dormait – Nargue de la folie de tous ces gens de coeur – N’avez-vous pas vu l’horloge – N’avoir jamais qu’une pensée – N’avoir pour objet que sa flamme – Ne craignez rien, allez, je tiens l’échelle – Ne craignez rien, tout ira bien – Ne craignez rien, troupe jolie – Ne crois pas, ô mon ange – Ne crois plus à nib trépas, ou traitant l’Amour sans pitié – Ne dérangez pas le monde – Ne donnons jamais à mon coeur – Ne fait’s pas tant votre embarras – N’faut pas heurter – Ne m’entendez-vous pas? – Ne ne me regardez pas ainsi – Ne m’interrogez pas, ma mère – Ne nous préférons point aux belles, ou dans un bosquet j’étais seulette – Ne point s’engager sur-le-champ – Ne raillez pas la garde citoyenne – Ne soyons point ambitieux – Ne v’là-t-i pas que j’aime – Ne vous laissez jamais charmer – Négligent, distrait – N’en demandez pas davantage – N’entend-on rien? – N’est-ce pas d’elle – N’est-il, Amour, sous ton epire – N’est qu’un seul espoir qui m’anime – Ne vois-tu pas, jeune imprudent – Ni jamais, ni toujours – Ni vu, ni connu, j’ t’embrouille – Nicaise était plus bête – Nice avait grâce, gentillesse – Noble écuyer, soutien du diadème – Noble dame, pensez à moi – Nom d’un chien, j’ veut être épicurien, ou on m’a dit qu’au Rocher d’ Cancale – Non, jamais, jamais, jamais – Non, je n’aimerai jamais que vous – Non, je ne ferai pas ce qu’on veut que je fasse – Non, non, beau sire, plus d’amour – Non, non, Colette n’est point trompeuse – Non, non, Doris ne pense pas – Non, non jamais aucune femme – Non, non, jamais dans ma volière – NOn, je ne veux imer que toi – Non, non, je ne veux plus aimer – Non, non, je n’oserai jamais – Non, rien ne m’échappe – Non, tu n’es plus reine des fleurs – Non, votre coiur nest plus le même, ou j’ignore quelle est ma naissance – Nos amours ont duré toute une semaine – Nos bons aïeux aimaient à boire – Nos deux coeurs formés l’un pour l’autre – Nos pèlerins ont bonne mine – Nos plaisirs sont légers, mais ils sont sans alarmes – Not’ curé et not’ vicaire, ou j’ons un curé patriote – Not’ demoiselle a dit oui, ou vous m’acceptez pour époux – Not’ marmotte a mal au pied – Notre fortune est faite – Notre meunier chargé d’argent, ou n’allez pas dans la forêt Noire – Nous allons avoir – Nous allons avoir – Nous autres, bons villageois, ou je n’ai our toute maison – Nous avons un clocher chez nous – Nous jouissons dans nos hameaux – Nous jouons ici-bas une grande partie – Nous n’avons plus cette merveille – Nous n’avons qu’un temps à vivre – Nous nous marierons dimanche – Nous nous verrons demain sur le champ de bataille – Nous pourrions nous entendre tous deux – Nous sommes précepteurs d’amour – Nous touchons à l’êge – Nous venons de Barcelonnette – Nous verrons à ce qu’il dit – O belle Andalousie – O bienheureux qui peut passer sa vie – O ciel! Que lui dire, ou la reconnaissance – O destin, voilà de tes coups – O Dieu des flibustiers – O douce paix de champs – O doux serments de mon Éléonore – O Fontenai, qu’embellissent les roses – Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah! –Oh! Je le tiens – Oh! La reine l’emportera – Oh! Les Français savent bien ça – Oh! Ma tante Urlurette, oh! Ma tante Urluron – Oh! Oui, l’homme le plus parfait – Oh! Qu’nenni dà, Thomas – Oh! Qu’ c’est joli – Oh! Vous avez des droits superbes – Olivier, je t’attends – O lit charmant, où ma Myrthé – O ma cavale au sabot noir! – O ma fille, que faites-vous? – O ma Georgette! – O Mahomet, ton paradis des femmes, ou il faut aimer, c’est la loi de Cythère – O ma tendre musette, ou gentille boulangère – O Mathilde, ma bien-aimée – O mes amis, ô ma belle Touraine! – O nuit favorable aux amants – O pescator dell’ onda – O philosophe ou voyageur – O retour plein de charmes – O seze aimable, mais trompeur – O surprise – O toi, la compagne chérie, ou chante, Héloïse – O toi, ma compagne fidèle – O toi qui n’eus jamais dû naître – O toi qui règnes sur mon âme – O vous qui me persécutez – O vous, jeunes fillettes – On aime à revoir le séjour – On compterait les diamants – On craint un engagement, ou Lubin pour me prévenir – On culbute par compagnie – On dira que cet âge heureux – On dit comm’ ça qu’un militaire – On dit par tout le monde – On dit qu’à quinze ans – On dit que je n’ai pas d’esprit – On dit que le diable est céans, ou le maître de cette maison – On dit que je n’ai pas d’esprit – On dit que le diable est céans, ou le maître de cette maison – On dit que le mariage – On dit que le premier homme – On dit que je suis sans malice – On dit qu’il arrive ici, ou va-t’en voir s’ils viennent, Jean – On doit soixante mille francs, ou c’est ce qui me désole – On l’a dit et je le répète – On la relèvera, la rira, du péché de paresse – On le savait dans le village, ou faut-il, hélas, lui faire un crime? – On m’a demandé souvent – On m’a dit qu’au Rocher’ Cancale – On m’avait dit sur un autre rivage – On m’avait vanté la guinguette – On me cherche, on m’aime, on m’adore – On me croit encore un enfant – On me dit gentille – On n’aime point dans nos forêts – On ne peut aimer qu’une fois – On ne rit plus, on ne boit guère – On ne saurait trop embellir – On n’est pas ingrate, je pense, ou je m’appelle Boniface Blaise – On nous dit qu’dans le mariage, ou tout comme a fait ma mère – On nous dit que l’Amour sait feindre – On nous dit que l’premier homme – On nous raconte qu’au village – On parle de Philosophie – On peut appeler la vie une petite guerre – On peut encore dans les champs – On peut parler plus bas – On peut, sans être sous la treille – On peut s’abaisser à surprendre – On peut trouver du plaisir – On prétend qu’à ce monsieur – On s’agite, on court dans le monde – On se chagrine trop vite – On se livre au plaisir – On s’est tourmenté d’âge en âge – On se presse toujours trop tôt, ou la chose ne vaut pas le mot – On va lui percer le flanc – On vante ces palais, ces temples, ces trophées – On voit encor des belles – On vous les mène par le nez – On y va – Or, écoutez, petits et grands – Or et bijoux ne valent pas quinze ans – Or, il ne faut pas qu’un tendron – Orléans, Beaugency – Ornons ce séjour – Otez vot’ chapeau, Messieurs – Où allez-cous, monsieur l’abbé, ou vous comprenez bien, vous m’entendez bien – Où s’en vont ces gais bergers – Où trouver le bonheur? – Où va Laurette en tapinois – Où vont tous ces preux chevaliers – Oui, bon gré, malgré – Oui, ce qu’on dit partout d’Ismène, ou Cécile est jeune, elle est charmante – Oui, c’en est fait, je me marie – Oui, ce Colinet – Oui, c’est bien lui qui de la fête – Oui, c’est elle! – Oui, c’est vainement, je vous jure – Oui, de cette terre sauvage – Oui, devant moi, droit comme une statue – Oui, j’aime à boire, moi, ou je suis soldat, moi – Oui, je dois encore espérer – Oui, je suis grisette – Oui, je vous le dis tout bas – Oui, leur folie est vraiment sans seconde – Oui, l’magister de not’ village – Oui, ma jeunesse à mes yeux est présente – Oui, noble dame et bachelettees – Oui, noir; mais pas si diable – Oui, pour quelques instants – Oui, si j’admire un instant le parterre – Oui, tout le bien que j’ai perdu – Oui, tu seras rosière – Oyez ces farouches concerts –
Pachas, mes chers confrères – Pairs d’Angleterre – Palsambleu, monsieur le curé – Pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan – Pantin, Pantin, que j’aime – Papa, montez sur ce tréteau – Pardevant moi j’ai du comptant – Pardevant le dieu de Cythère – Pardon, seigneur, point de courroux – Pardonnez, je vous en supplie – Par des doutes ingénieux – Par excès de fierté d’abord – Par hasard ce bon La Fontaine – Par les conseils d’un’ vipère – Parlez, monsieur, je vous écoute – Paris est au roi, ou quel événement – Paris est comme autrefois – Parisiens, faut que j’vous chante – Pars, mon petit, de ton enfance – Partant pour la Syrie – Par l’ennemi, contre vous courroucé – Par l’objet d’un funeste amour – Parmi les filles du canton – Partons, la mer est belle – Partout que l’on prépare – Par un dimanch’ qui z’ était fête – Par une liqueur enivrante – Par vos bontés sans bornes et sans prix – Passez votre chemin, beau sire, ou en revenant de Nivelle – Patati, patata – Pastourelle chérie, ou le soldat au départ – Pauvre dame Marguerite – Pauvre d’atours, riche d’attraits – Pauvre garçon tailleur – Pauvre Jacques, quand j’étais près de toi – Pauvre Louise, bien chagrine – Pauvre Napolitain, la mer est belle – Pauvre pêcheur, prends garde à toi – Pauvre petit, il est transi – Pauvres vieillards, déguisez vos visages – Payrol rout, madémigella – Pégase, à ce que l’on raconte – Pégase est un cheval qui porte – Peintre de l’homme et censeur de nos vices – Pendant la fête une inconnue – Pendant la nuit, quand tout sommeille – Père capucin – Père de l’univers, suprême intelligence – Permettez, je vous en supplie – Perrette fait bien la fière – Petits baisers que tu demandes – Petit billet, toi qu’Amour a dicté – Petit bonhomme, d’où viens-tu? – Petit bonhomme prend sa hache – Petit chagrin dans notre enfance – Petite, petite, vos talons sont bas – Petits chagrins de temps en temps – Petits et grands, accourez tous – Petits oiseaux, le printemps vient de naître – Peuple français, peuple de braves – Peuple français, peuple de frères – Phyllis demande son portrait – Philis est petite et mignonne – Philis, plus avare que tendre – Pierrot, finis ta légende – Pierrot, partant pour la guerre – Pierrot, revenant du moulin – Pierrot, sur le bord d’un ruisseau – Pigeon vole, pigeon vole – Pitié, madame, pour l’orphelin – Place à l’équipage de l’ami Scarron – Plaignez le sort d’un malheureux amant – Plaignez, plaignez la pauvre Adèle – Plaignez, plaignez la pauvrette – Plaignez un vieillard éperdu – Plaisir d’amour embellissait la vie – Plaisir d’amour ne dure qu’un moment – Plantons le mai, chantons le mai – Pleurant la mort d’une éperdu – Plaisir d’amour embellissait la vie – Plaisir d’amour ne dure qu’un moment – Plantons le mai, chantons le mai – Pleurant la mort d’une épouse bien chère – Pleurez mes yeux, pleurez ce sort funeste – Plus blanche que la blanche hermine – Plus blanche que la blanche hermine – Plus inconstant que l’onde et le nuage, ou ciel! L’univers va-t-il donc se dissoudre? – Plus jolie que Julie – Plus léger qu’un enfant d’Éole – Plus matin que l’Aurore – Plus ne suis ce que j’ai été – Plus on est de fous, plus on rit à table – Plus on est de fous, plus on rit – Poëte galant et français – Point de bruit, ce réduit – Point de partialité – Point de quartier, si vous voulez m’en croire – Point de sévérité pour les amours d’été – Point d’humeur contre les belles – Pomm’ de reinette et pomm’ d’api, ou quand on est mort c’est pour longtemps – Porte à ta pauvre mère – Portrait charmant, portrait de mon amie – Pour animer nos chansons – Pour bien danser – Pour bien juger une maîtresse – Pour bien occuper ses loisirs, ou il a fait un voyage – Pour détruire le genre humain – Pour donner la paiz à la terre – Pour dot nous avons cinq sous – Pour étourdir le chagrin – Pour héritage, ou quand une belle – Pour la baronne – Pour la çarimonie – Pour la parodie utile – Pour le bonheur de vos familles, ou je sens qu’en ce péril extrême – Pour les diamants je me pique – Pour les friands, pour les gourmands – Pour m’enseigner des arts inutiles – Pour mettre fin à ma tristesse – Pour mieux te prouver mon amour – Pour moi dans la nature – Pour moi, je sens que sur la terre – Pour noble princesse – Pour nous mettre en train – Pour obtenir celle qu’il aime – Pour parvenir à plaire – Pour passer doucement la vie – Pour passer doucement vos jours – Pour que l’hymen m’engage – Pourquoi ces détours superflus? – Pourquoi cet air sévère? – Pourquoi de cette solitude? – Pourquoi donc tant se récrier? – Pourquoi faut-il ici bas que la peine? – Pourquoi me fuir, passagère hirondelle? – Pourquoi n’est-il que la jeunesse pour les amours? – Pourquoi pleurer? – Pourquoi repousser les faveurs – Pourquoi rompre leur mariage? Ou quoi, ma voisine, es-tu fâchée – Pourquoi vouloir qu’une personne chante? Ou pleurez, mes yeux – Pour rendre son hôtellerie – Pourriez-cous bien douter encore – Pour Saint-Cyr, ah! Quelle gloire – Pour se bien divertir – Pour Semèle et Jupiter – Pour te fêter nous voilà tous – Pour toi la vie est une fête – Pour trouver le parfait bonheur – Pour toujours, toujours, toujours – Pou un maudit péché – Pour un peuple aimable et sensible – Pour une fois c’ n’est pas la peine – Pour vivre ici sans regret – Pour vous faire entrer en ménage – Pour vous je vais me décider, ou la comédie est un miroir – Povera Signora a des migraines – Précieux jour dont fut ornée – Premier amour d’une première amie – Première fois qu’amour vient en notre âme – Prenant le plaisir pour guide – Prends garde à toi, me répétait mon père – Prends garde, montagnarde – Prends, ma Philis, prends ton verre – Prenez pitié d’un pauvre malheureux – Prenons d’abord l’air bien méchant – Près d’Alexis dans un bocage – Près de Mirande, au fond d’une vallée – Près d’un coulant ruisseau – Près du Jourdain un jeune troubadour – Près Guéret et Montluçon – Prêt à partir pour la rive africaine – Printemps, dans nos bocages, ou intégrité, franchise – Privé de mon unique appui – Privé tout-à-fait de richesse – Privez l’Amour de sa flèche cruelle – Profitez bien, jeunes fillettes, ou adieu paniers, vendanges sont faites – Profitez de la vie – Proscrit par une ligue impie – Provençale jolie – P’tit bonhomme prend sa hace, ou entends-tu l’appel qui sonne? – Puis je en douter, lorsqu’avant mon voyage – Puisque c’est votre fête, ou chantons lœtamini – Puisque dans cette vie – Puisque l’objet de vos regrets – Puisque l’orgueil pour jamais te sépare – Puisqu’ici l’on me seconde – Puisqu’on a fait bonne vendange – Quand, quand, quand – Quand à ces messieurs le coeur grille – Quand à l’approche d’un orage – Quand Biron voulut danser – Quand de bon matin – Quand de la nuit l’épais nuage – Quand de nos fers nous serons quittes – Quand Duguesclin – Quand des ans la fleur printanière – Quand d’un air soumis on m’aborde – Quand huit ans après de Sophie – Quand j’avais l’âge de mon fils – Quand j’avais le coeur d’Annette – Quand j’avais quinze ans – Quand j’entends messieurs les amants – Quand j’entends un homme sensé – Quand je demande un secours – Quand je pense à la créature – Quand je réfléchis à mon sort – Quand je tiens de ce jus d’octobre – Quand je suis avec mes amis – Quand je suis soûl dès le matin – Quand j’étais garde marine – Quand j’éais mousquetaire – Quand je te vois, charmante amie – Quand je vois de gens ici-bas – Quand je vois un joli minois – Quand je vous ai donné mon coeur – Quand la beauté reçoit le jour – Quand la bergère vient des champs, ou Annette à l’âge de quinze ans – Quand l’amitié devient amour – Quand la mer rouge apparut, ou le saint, craignant de pécher – Quand l’Amour naquit à Cythère – Quand l’Amour nous guide – Quand la nature se réveille – Quand la rose – Quand le bien-aimé reviendra – quand le mensonge défigure – Quand l’épée et la lyre – Quand le péril est agréable – Quand l’hirondelle – Quand mon berger me mène – Quand nos joyeux verres – Quand nous portons au patron de not’ village – Quand on a su toucher – Quand on est deux et quand on s’aime – Quand on est fille – Quand on est mort, c’est pour longtemps – Quand on est riche et gentille – Quand on fut toujours vertueux – Quand on ne dort pas de la nuit – Quand on ne dort pas de la nuit – Quand on sait aimer et plaire – Quand on va boire à l’Ecu – Quand par me lois j’ai voulu – Quand pour punir Vulcain – Quand toi s’en va de la case, our lorsque Zoé quitter case – Quand tout renaît à l'espérance – Quand tu devrais t’eniver, tu boiras – Quand tu m’aimais, trop inconstante amie – Quand un curé s’en va dire la messe – Quand un tendron vient dans ces lieux, ou air du roi d’Yvetot, oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah! – Quand une belle – Quand une mère trop sauvage – Quand vient l’ombre silencieuse – Quand vous jugez que je ne suis pas belle – Qu’auprès d’un jeune homme on étale, ou veut-on choisir entre les belles – Qu’avec plaisir, mon cher cousin – Qu’avez-vous, comtesse? – Que Bacchus enchaîne – Que ce bon père est complaisant – Que ce sabiau soit par nous vérifié – Que ces murs coquets – Que chacun de nous se livre – Que de mal, de tourments – Que d'établissements nouveaux – Que de temps fait perdre l’Amour – Que fait-on de plus quand on aime? – Que j’aime à voir les hirondelles – Que j’aime à voir un corbillard – Que j’aime mon cher Arlequin – Que j’avions d’impatience – Que je dois de reconnaissance – Que j’enrage d’aimer Nicaise, ou ah! le cruchon! – Que la chansonnette, ou lorsque le champagne – Que l’aspect de la nature – Que la vague écumante – Que l’enfance du monde – Que le jour me dure – Que le passé soit oublié – Que le plaisir nous enchante – Que le Roi vive, et la France prospère – Que les mortels redoutent le trépas, ou c’est là ce qui m’étonne – Que le sultan Saladin – Que l’on goûte ici de plaisirs – Que n’ai-je encor ma richesse – Que n’avons-nous la verve heureuse – Que ne suis-je la fougère, ou d’une amante abandonnée – Que nous goûtons de plaisirs – Que Pantin serait content – Que parlez-vous ici de gloire – Que sont les trésors sur la terre? – Que ta porte, ô ma tendre amie, ou c’est à mon maître en l’art de plaire – Que ton manoir philosophique – Que vois-je, quel jour radieux – Que veut-il dire? – Quel bonheur doux et flatteur – Quel bonheur ! il a sa grâce – Quel bonheur ! quelle ivresse – Quel charme heureux, quelle grâce légère – Quel désespoir – Quel événement – Quel état douloureux – Quel pouvoir inconnu m’entraîne – Quel spectacle s’offre à mes yeux – Quel vent ! quelle poussière ! – Quel accents, quel transports ! – Quels bijoux voilà ! – Quels doux transports m’inspire sa présence – Quelle beauté brillante – Quelle belle journée – Quelle effroyable journée – Quelle est la fille du village – Qu’est est, qu’elle est bien – Quelle couleur est plus vermeille – Quelle singulière aventure – Quelques-une prirent le cochon – Qu’en voulez-vous dire? qu’en voulez-vous dire? – Queuqui veut savoir l’histoire – Que vous avez d’avantages – Qui dans le régiment – Qui des deux a l‘esprit plus sot – Qui des deux est le plus à plaindre – Qui fait que certaine Chloris – Qui n’a pas fait du printemps l’automne – Qui par fortune trouvera – Qui potis et non potis (Bourbonnaise du grimacier) – Qui traverse à la nage – Qui trouve au bois belle endormie – Quittant de la fortune le Dieu – Qui veut entendre une chanson – Qui veut savoir l’histoire entière, entière – Qu’il est flatteur d’épouser celle – Qu’il est mince notre journal – Qu’il est terrible pour un coeur – Qu’il m’a fallu depuis deux ans – Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tonne – Qu’il se présente un agréable – Qu’il tarde à ma tendresse – Qu’ils sont charmants, qu’ils sont aimants – Qu’importe à mes tendres désirs – Quinze ans, ma vielle et l’ésperance – Quinze ans, Mirrha, sont à peine votre âge – Quinze ans, ou bien peu davantage – Quinze ans, Thémire, oh ! le bel âge – Qu’ j’ai d’plaisir à voir – Quoi ! douze francs ! c’est une extravagance – Quoi! ! d’une femme, ou n’est-ce pas d’elle – Quoi ! ma voisine, es-tu fâchée ? – Quoi ! pour toujours elle m’est donc ravie ! – Quoiqu’ j’avons un’ bonn’ tête – Quoiqu’un docteur censure vinum – Quoi ! répond-elle à l’ermite – Quoi ! vous ne me dites rien – Quoi ! vous partez sans que rien vous arrête ? – Quoi ! vous voulez que le hasard – Qu’on est heureux d’être Gascon – Qu’on soit jaloux dans sa jeunesse – Qu’un bon Roi soit la victime, ou c’est bien naturel – Qu’une fille était étonnée – Qu’un jour ce temple nouveau – Qu’un poète souvent guette –
Ramplan, plan, plan, plan, plan, plan, plan (la fille de Dominique) – Ran, tan, plan, tire-lire, ou on va lui percer le flanc – Ran, tan, plan, ran, plan, ran, plan – Rassurez vous, mon cher Voltaire – Ra-ta-plan, ra-ta-plan (des Huguenots) – Recevez mes tendres secrets – Reçois dans ton galetas, ou enfin, v’là donc qu’est bâclé – Redis-le-moi, tu ne peux t’en défendre – Regard vif et joli maintien – Reine des fleurs, charmante rose – Rendez justice à ses projets – Rendez-moi mon écuelle de bois – Repas en voyage, ou quand nos joyeux verres, ou lorsque le champagne – Repose en paix, femme jolie – Reposez-vous, bon chevalier, ou que je dois de reconnaissance – Reprends, Edgard, ton vaillant cimeterre – Reposons-nous ici tous deux, ou dormez donc, mes chères amours – Résiste-moi, belle Aspasie – Résonnez, ma musette – Respectez les maux, les ennuis – Reste encore un moment – Restez, restez, troupe jolie – Révèle tes secrets au jour – Réveillez-vous, belle dormeuse, ou Philis, plus avare que tendre – Réveillons, réveillons l’Amour et les belles – Réveillons, réveillons les chastes pucelles – Reviens, ô toi que j’aime – Ric mir voulouf irzami – Richards, soulagez l’indigence – Rien ne me mécontente – Rien ne m’est plus, plus ne m’est rien – Rien n’est si beau, rien n’est si bon – Rien n’est si plaisant que la tournure, ou pour m’enseigner des arts inutiles – Rien n’était si joli qu’Adèle, ou amusez-vous, trémoussez-vous – Rien, père Cyprien – Rien, tendre Amour, ne résiste à tes armes – Rions avec la jeunesse – Rions, chantons, aimons, buvons, ou songez donc que vous êtes vieux – Rire et boire, de Grégoire – Rire sans cesse est ma folie – Rives de ma terre natale – R’lan tan, plan, tambour battant – R’li, r’lan, r’lan tan plan, tambour battant – R’lin tin tin – Robert disait à Claire – Robin turelure – Rolland, près de quitter la vie – Ronflant comme un cochon – Rose est une bonne créature – Rose pour plaire et pour briller, ou au sein d’une fleur tour à tour – Rose qui vient d’éclore – Rossignolet du bois – Roulant ma brouette, ou place à l’équipage – Ruban dont elle orna sa tête – Ruisseau charmant, du gazon de tes rives – Ruisseau qui baignes cette plaine – Sachez qu’au village j’ons de la vertu – Sa demeure villageoise – Saint bienheureux, dont la divine image – Saisir le moment, au le voile odieux – salut, lieux sacrés ou repose – Salut, o divine Espérance – Sans cesse à la ville à la cour – Sans cesse en goguette, ou ah! Voila la vie – Sans chagrin de l’avenir – Sans compliment – Sans dépit, sans légèreté – Sans être belle on est aimable, ou oh! Je le tiens – Sans le savoir – sans le savoir, ou il était temps – Sans mentir – Sans nous moquer les uns des autres – Sans nulle frayeur, soumettez-vous – sans plaisir et sans espérance – sans rente et sans bien – sans savoir pourquoi – sans un petit brin d’amour – sans vin, sans amour, san gaîté – sans vin, sans amour, san gaîté – Sarpédié, que mon pèr’ dans’ ben (rendez-moi mon écuelle de bois) – S’attend-on à cela d’un page ? – Sautez donc, sautez donc, ou vaudeville des Sabotiers béarnais – Savez-vous bien ce qui plaît aux fillettes – Sèche tes larmes – Secret d’amour – Séjour affreux de tristesse et d’alarmes – Séjour d’amour – Sens devant derrière, sens dessus dessous – Sentir avec ardeur – Septembre est le mois agréable – Serait-ce l’ami que sans cesse – Servant d’amour, ai connu vif délire – Servante, quittez vos paniers – Servir la beauté, l’innocence – Seul assis à l’ombre des bois – Sexe charmant, par qui nous sommes – Si ça t’arrive encore – Signal d’un galant négligé – Si votre vie, joyeux troubadours, ou voilà la manière de vivre cent ans – Si des galants de la ville – Si des tristes cyprès – Si Dorilas n’en parlair guères – Si jamais je fais un ami – Si jamais je me marie – Si jamais je prends femme – Si j’avais un autant d’écus, ou Urlurette, ma tante Urlurette – Si j’avais un amant franc – Si je la gronde quelquefois, ou par devant moi j’ai du comptant – Si je n’avons pas – Si je suis infidèle – Si je te caresse aujourd’hui – Si j’voulions être un tantet coquette – Si j’en savons, mais voir’ment, ou vous voyez en moi mon coeur – Si le coeur vous en disait. Ou yo ne un homme qu’es pixou – Si le roi m’avait donne, ou dedans mon petit reduit – Si loin du port, disperses par l’orage – Si l’on pouvait rompre la chaîne, ou on peut s’abaisser à surprendre – Si l’on vous sait une femme volage, ou taisez-vous – Si ma voix peut t’distraire – Si mon sens ne me trompe pas – Six mois de constance – Si nous vivions comme vivaient nos pères – Si Pauline est dans l’indigence – Sitôt que j’aperçois Jeannot – Si tu crois, pour charmer un coeur – Si tu m’aimais, craindrais-tu de le dire? – Si tu veux un ami véritable – Si tu voyais Rosette – Si vous aimez tendre sourire – Si vous sentez dans vos âmes – Si votre sommeil est troublé – Si vous voulez être discret – Si vous voulez suivre les lois – Si vous aimez la danse – S’il a comme le bon Henri – S’il est sur terre un emploi – S’il est vrai que d’être deux – S’il est vrai qu’Hercule fila – Soeur Luce, aimable hospitalière – Soir et matin je chante, ou en revenant d’Auvergna – Soir et matin sur la fougère – Soit que par l’onde, ou par le feu – Soldat français, né d’obscurs laboureurs – Soldat, qui, dans ces tristes tours, ou vous voyez le sort d’un soldat – Soldat de la folie – Soldats français, chantons Roland – Sombres bois où sa tendresse – Sombre et douce mélancolie – Sombres forêts, désert triste et sauvage – Sommeil a fui mon humide paupière – Songez bien que l’Amour sait feindre – Songez donc que vous êtes vieux – Songez-vous que je suis la veuve – Son regard peut-être est farouche – Sonnez, sonnez, sonnez, cors et musette – Sortant de l’humide séjour – Sortez à l’instant, sortez – Sortez de vos retraites – Sortez, il faut que je m’habille – Sot, magot, nigaud – Sous ce chaume que tu méprises – Sous de riants bocages – Sous des lambris où l’or éclate (air ancien) – Air de Legros de la Neuville – Air de Wilhelm – Sous la voûte des cieux, ou pauvre garçon tailleur – Sous le nom de l’amitié – Sous l’orme, au déclin d’un beau jour – Sous les drapeux des ris et des amours – Sous un ciel pur et sans nuage – Sous un ormeau, ou sur un sofa – Sous un saule dans la prairie, ou en jupon court, en blanc corset – Sous une écorce légère – Sous vot’ bon plaisir, monseigneur – Souvenez-vous-en – Souvenir du jeune âge – Souvent c’est l’ennui qu’on évite – Souvent je voyais sans l’ormeau – Souvent la nuit quand je sommeille – Soyons à l’ouvrage – Suivons, suivons le cours de l’eau – Sunt cornua cum cornibus – Sur cette onde fraîche et pure (barcarolle) – Sur la foi de votre bonne – Sur la plus légère apparence – Sur la rivière, comme mon père – Sur le bruit de vos talents, ou pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan – Suis le cours de fleuve rapide – Sur le déclin de l’âge – Sur le gazon dans la prairie – Sur le mot rien, que l’on me donne – Sur le sable de ces rives – Sur les lèvres de la beauté – Sur l’émail de la prairie – Sur l’port avec Manon z’un jour – Sur son grison un jour Claudaine – Sur son sofa, dans son boudoir – Sur tout ce que je vous dirai – Sur tout on a fait des chansons – Sur toute la nature – Sur un radeau – Sur un sofa – Sur une écorce légère – Sur une onde tranquille – Sus, amis, qu’on se réveille, ou il faut que l’on file, file – Suzon sortait de son village, ou notre fortune est faite – Sylvie, à l’âge de quinze ans –
Taisez-vous – Taisez-vous,bavarde – Taisez-vous, finissez – Taisez-vous, je ne vous crois pas – Tandis que tout sommeille – Tant d’honneur passe mon attente – Tant que le soleil brillera – Tant que l’homme désirera – Tape, tape, a l’ennui j’echappe – Ta plainte me desespere – Tarare pompon – Tchem tebie ia ogartchila – Te bien aimer, o ma chere zelie – Tendre fruit des pleurs de l’aurore – tendres exhos errants dans ces vallons, ou deja la nuit de ces voiles epais – T’en souviens-tu – T’nez, mounsuier d’orleans – Tenez, moi je suis un bon homme – Tenez, monsieur Joconde – Tenez, tenez, et rendez-nous justice – Te souviens-tu, Marie – Tes serments rassurent mon âme – T’es dans tes atours, moi d’ même – Tiens, soyons francs – Tiens, voilà ma pipe – Timide et tremblante – Timide, froid et languissant – Tin, tin, soldats, voilà Catin – Tin, tin, tin – Tique, tique tac et tin, tin, tin, ou nous avons un clocher chez nous, ou mon système est d’aimer le bon vin – Tircis aimable – Tire, lire, li, tontaine – Tis-moi tonc, ma camarate – Tivoli, que partout l’on vante – Toi dont l’amour m’est plus cher que la vie – Toi dont l’amour commande la constance – Toi que du faible es l’ésperance – Toi que je pleure, que j’adore – Toi que l’oiseau ne suivrait pas – Toi qui connais les hussards de la garde – Toi qui, par une douce erreur (nocturne à trois voix ad libitum) – Toi qui vas, cherchant à la ronde – Toi qui voyages la nuit – Ton, ton, ton, ton, tontaine, ton, ton – Ton humeur est, Catherine – Ton jardin anglais – Ton moulin, belle meûnière – Tôt, tôt carabot, compère Guilleri – Tôt, tôt, tôt, battez chaud, bon courage – Tôt, tôt, tôt, saut d’galop, ou allez donc, postillon – Touchez-là, vous n’aurez pas ma fille – Toujours, toujours, il est toujours le même – Toujours à ma pensée – Toujours debout, toujours en route – Toujours de tes rigueur serai-je la victime? – Toujours de trinquer avec nous – Toujours on médit de l’absence – Toujours quelque trait corrupteur – Toujours suivre avec uniformité – Toujours seule, disait Nina, ou s’il a, comme le bon Henri – Toujours timide et sans espoir – Tour-à-tour tout change – Tous les bourgeois de Chartres – Tous les garçons de la contrée – Tous les hommes sont bons – Tous les jours au fond de mon cœur – Tous les jours il me regardait – Tous mes vassaux seront dans l’avenue – Tous nos tendrons sont aux abois – Tout bas quand on cause – Tout ça passe en même temps – Tout chacun l’aime et l’admire – Tout comme a fait ma mère – Tout consiste dans la manière – Tout est charmant chez Aspasie ou sur son sofa, dans son boudoir – Tout était vrai dans Soulange – Tout le long, le long, le long de la rivière – Tout me charmait par ta présence – Tout le village me l’envie – Tout n’est dans ce bas monde qu’un jeu – Tout roule aujourd’hui dans le monde – Tout s’anime dans la nature – Toute fille en Provence – Toute fille honnête, ou en vain je l’appelle – Tout ma répose est dans mes yeux – Toutes les filles du village – Tra de ri de ra, là, là, là, là – Tra, la, la, la – Tralalala – Traitant l’amour sans pitié, ou un lieu triste et bourgeois – Tranquillement, il se promène – Tranquillise-toi, des époux – Travaillez, travaillez, bon tonnelier – Tribunal de la reine Berthe – Triste raison, j’abjure ton empire – Tristes regrets, sortez de ma pensée, ou il n’est pire que l’eau qui dort – Trop amoureux d’une maîtresse – Troup de pétulance gâte tout – Trop imprudente Flore – Trop volage berger – Troubadour en voyage – Troupeau joyeux du Vaudeville – Trouver le bonheur en famille – Trouverez-vous un parlement – Tu croyais, en aimant Collette – Tu disais que tu m’aimais – Tu n’as pas d’un pays lointain – Tu n’auras pas, p’tit polisson – Tu ne loûras pas de carrosse – Tu ne vois pas, jeune imprudent – Turlurette, ma tante Urlurette – Tu vas changer de costume et d’emploi – Tu vas quitter notre montagne – Tu veux devenir ma compagne – Tu veux pauvre Marie – Tu veux savoir si par l’Amour – Tu vois en nous le régiment – Un ancien proverbe nous dit – Un bandeau couvre les yeux – Un beau jour que Gros-René – Un beau jour sur le bord de l’eau – Un beau matin le beau Lucas – Un beau navire, à la riche carène – Un beau troubadour béarnais – Un berger de notre village – Un bon vieillard de gaillarbois – Un bienfait n’est jamais perdu – Un canard, déployant ses ailes – Un chanoine de l’auxerrois, ou le punch et le vin que j’ai pris – Un châtelain aimable et beau – Un chanteur n’est pas un Caton – Un chevalier, deux chevaliers, ou touchez là , vous n’aurez pas ma fille – Un ciel serein et sans nuage – Un cordelier dit à Lisette, ou nage toujours, mais n’ t’y fie pas – Un cordelier d’une riche encolure – Un cordelier de sa voix fait parure – Un, deux, trois, quatre, cinq, six – Un enfant dodu nous est advenu, ou nous nous marîrons dimanche – Un enfant gâté du Parnasse – Un esprit plaisant est un présent de la nature – Un forfait qui m’épouvante – Un grenadier c’est une rose – Un guerrier sous un coup funeste – Un homme, pour faire un tableau – Un ingrat m’abandonne – Un jeune amant dans l’opulence – Un jeune enfant, le casque en main – Un jeune et vaillant chevalier – Un jeune troubadour – Un jour à Fanchon j’dis ma fille – Un jour au bois Colinette – Un jou dans le bocage – Un jour Colin et Colette – Un jour, dans sa tendresse extrême – Un jour l’Amour quittant sa mère – Un jour dans un vert bocage – Un jour d’autres héros que moi – Un jour de cet automne – Un jour Guillot trouva Lisette – Un jour il est agriculteur, ou c’est le meilleur homme du monde – Un jour la beauté, vaine et fière – Un jour la petite Colette – Un jour le front couronné de verveine – Un jour le malheureux Lisandre – Un jour Lisette allait au champ, ou n’faut pas heurter – Un jour Lucas dans la prairie, ou ça n’ se peut pas – Un jour me demandait Hortense – Un jour pur éclairait mon âme – Un jour que j’avais mal dansé – Un jour sans la coudrette, l’Amour – Un jour, sur la fougère – Un jour vous suffit à la ville – Un jour une indiscrète rose – Un jour, un jour, je vous le dis – Un lien triste et bourgeois – Un magistrat irréprochable – Un matelot à bord, loin du rivage – Un matin, brusquement – Un matin l’Amour en colère – Un matin que Gros-Rène, ou je veux croire qu’en effet – Un ménéstrel, enfant de la Victoire – Un meunier de notre village – Un militaire doit avoir trompette et tambour – Un moment de gêne – Un motif plus puissant, je pense – Un mouvement de curiosité – Un oeillet à la bergère – Un page aimait la jeune Adèle – Un page français – Un papillon des plus brillants – Un pauvre petit Savoyard, ou un bienfait n’est jamais perdu – Un pauvre avait froid – Un peu d’amour, un peu de soin – Un prix se donne tous les ans – Un premier amour – Un refrain dont le vulgaire – Un rigaudon, zig, zag, don, don – Un Roi qu’est toujours enfermé – Un seul amant est comme rien – Un seul encor combattait dans la plaine – Un seul regard – Un soir accablé de tristesse – Un soir, après mainte folie – Un soir Lison au village – Un soir, dans la forêt prochaine, ou je voudrais bien le deviner – Un soir l’Amour, d’un air timide – Un soir revenait Cadet – Un soir revenant du moulin – Un soldat, par un coup funeste – Un songe heureux, à mon âme attendrie – Un sot qui veut faire l’habile – Un tonnelier vieux et jaloux, ou trvaillez, travaillez, bon tonnelier – Un troubadour béarnais – Un troubadour, les yeux baignés de pleurs – Un vieux guerrier poursuivi par l’orage – Une abeille toujours chérie – Une Agnès que l’on prend pour femme – Une autre vous enflamme – Une beauté qui soupire – Une faveur, Lisette, ou Lubin dit qu’l vous aime – Une fée, un bon ange – Une femme fait peste et rage – Une fièvre brûlante, ou dans une tour obscure – Une fille est un oiseau – Une fille qui toujours sautille, ou à votre âge, fille la plus sage – Une foule aimable et légère – Une jeune bergère les yeux baignés de pleurs – Une jeune fillette, ou il suffit qu’ça me plaise – Une loi dans l’Inde connue – Une lumière vive et pure, ou pour mettre fin à ma tristesse – Une mauvaise tragédie – Une mère – Une petite fillette, qui n’avait pas plus d’quinze ans – Une robe légère – Une rose bien fleurie – Une soirée au village – Une surtout fraîche et jolie – Une vieille qui roupille – Ut, ré, mi, fa, sol, la, si, ut
Va, coco, au grand trot (voy. allez donc, postillon) – Va de nouveau courir le monde – Va, d’une science inutile – Va, ne crains pas que les plaisirs parfaits (voy. air de la valse saxonne) - Vais vous revoir apres chagrin d’absence – Valet chez une fermière – Vallée ou j’ai reçu le jour – Vantez-vous-en – Va-t’en voir s’ils viennent, Jean – Vaut mieux être en ménage qu’ d’êt’ garçon – Veillons au salut de l’empire – Vénérable et bon ermite – Venez chanter et rire – Venez me voir dans ma chaumière – Venez, mes amis – Venez, peuple chrétien – Venez tous rendre hommage – Venez, venez dans ma chaumière – Venez, venez dans mon parterre – Venez, Venez vous rendre, ou approchez vous, sans crainte – Venir déjeuner sans argent – Vent brûlant d’Arabie, ou ce crayon trop fragile – Vénus apprenant que l’Amour – Vermeille rose – Verre en main – Vers le temple de l’Hymen – Vers sa retraite, allons seulette – Verse encor – Versez donc, mes amis, versez – Versez, versez toujours – Versons, versons à grands flots – Versons le vin, renversons les fillettes – Veut-on choisir entre les belles – Veuve dès ses premiers beaux jours – Victor renonce aux amours de la ville – Vieil écuyer, voici venir l’aurore – Vieillard qui d’amour est épris – Vieillissons sans regret – Viendra-t-elle aujourd’hui, Bébé – Viendras-tu pas, toi que mon coeur adore? – Viens, Aurore – Air nouveau par madame Martainville – Viens çà, ma chère Margot – Viens dans mes bras, mon aimable crèole – Viens donc, mon Aline – Viens, gentille dame – Viens, le métier des armes – Viens, mon aimable bergère – Viens, puisqu’il doit en ces lieux – Viens voir sur l'écorce légère – Vierge timide du bocage – Vivandière du régiment, ou demain matin, au point du jour – Vive folie – Vive Henri – Vive Henri quatre, ou j’aimons les filles – Vive la lithographie – Vive l’amour pour nous mieux secourir – Vive la gaîte, c’est ma devise – Vive le dimanche – Vive le merveilleux – Viv’ le roi ! – Vive le roi! Vive le roi! – Vive le roi, vive la France ! – Vive le vin ! vive l’amour! – Vive le vin de Ramponneau – Vive ma petite Jeannette – Vive un amant, ou ziste, zeste, malepeste – Vive un bon luron, ou la farira dondaine, gué – Vive un tambourin qui nous réveille – Vive une femme de tête, ou je suis colère et boudeuse – Vive, vive l’Italie – Vivent la pluie et les orages – Vivent les fillettes – Vivent les gascons, mes amis – Vivent les noces pour danser – Vivre loin de ses amour – V’là c’ que c’est qu’ d’aller au bois, ou v’là c’ que c’est qu’ d’avoir du coeur, ou v’là c’ que c’est que l’carneval – V’là l’ postillon, l’postillon par Calais – V’là qu’ not’ cousin’, la soeur à Jean – Voici donc le séjour paisible – Voici donc le soir – Voici la saison nouvelle – Voici le train de ma vie – Voici les dragons qui viennent – Voici les étrennes de Cythère – Voici l’hiver, ma Fanchon – Voici nos bouquets – Voici venir la nuit – Voilà bien ces lâches mortels – Voilà bien le mot ordinaire – Voilà ce sauvage – Voilà comme dans ses maîtresses – Voilà déjà quatre grands jours – Voilà la manière de vivre cent ans – Voilà le grenadier français – Voilà mon cousin l’Allure – Voilà pourquoi j’aime le roi – Voilà trois ans qu’en ce village – Voilà, voilà la petite laitière – Voir une mère au déclin de ses ans – Vois-tu ces côteaux se noircir – Vois-tu cette nacelle – Voltaire, en dépit de son esprit – Vos attraits charmant tous les yeux – Vos efforts seront superflus – Vos maris en Palestine – Vos monts battus des tempêtes – Vos vers heureux que l’on admire – Votre cœur, aimable Aurore – Votre pavillon m’enchante – Votre puissance dans mo âme – Votre sagesse éclaire – Votre souhait sera comblé – Votre zèle me flatte – Voulant par ses œuvres complètes – Voulez-vous, charmante Azélie – Voulez-vous être heureux amant – Voulez-vous, mes enfants – Voulez-vous que de Nanette – Voulez-vous savoir les on dit, ou mon père était pot – Voulez-vous savoir l’histoire – Voulez-vous savoir qui des deux – Voulez-vous suivre un bon conseil, ou versez done, mes amis, versez – Vous, aimables fillettes – Vous alles dans l’aimable France – Vous autres, jeunes fillettes – Vous avez vu dans cette enceinte – Vous baiserez ma tante – Vous comprenez bien, vous m’entendez bien – Vous connaissez dame Gertrude – Vous connaissez la jeune Hortense – Vous deves, je pense, ici-bas – Vous dites toujours, maman – Vous en savez en ce moment – Vous êtez ma maîtresse – Vous l’ordonnez, je me ferai connaître, air de Dezède – Vous m’acceptez pour époux – Vous me grondez d’un ton sévère, ou maman, grondez-moi pour deux fois – Vous me plaignez, ma tendre amie – Vous me quittez pour aller à la gloire – Vous me refusez pour amant – Vous me traitez avec malice – Vous me trompez, je le vois bien – Vous m’entendez bien – Vous m’ordonnez de la brûler – Vous n’ connaissez pas les belles – Vous ne prononcez plus Edouard – Vous n’êtes pas très empressé – Vous partez brillante et parée – Vous pourtant – Vous que l’on assigne au palais – Vous qui cherchez à vous défendre – Vous qui cherchez de bonnes gens, ou de cette agréable maison – Vous qui cherchez le délectable – Vous qui cherchez femmeparfaite – Vous qui d’amoureuse aventure, ou veillons au salut de l’empire – Vous qui de l’amoureuse ivresse – Vous qui de prêcher la raison – Vous qui du vulgaire stupide, ou vaudeville d’Epicure – Vous qui fêtes not’ mariage – Vous qui, loin d’une amante – Vous qui souffrez du mal d’amour – Vous qui toujours suives nos traces – Vous qui voulez des chansonnettes, ou chansons, chansons – Vous qui voulez de tendres lois – Vous qui voulez savoir d’avance – Vous reconnaîtrez les bontés – Vous reverres, ma chère – Vous reviendrez voir la fermière – Vous soupirer pour la belle – Vous voulez de votre beauté – Vous voulez me faire chanter – Vous voyez bien ce bouquet-ci – Vous voyez en moi, mon cœur – Vous voyez le sort d’un soldat – Voyage qui voudra – Voyez dans ce bel équipage – Voyez dans les champs d’alentour, ou loin des rayons brûlants du jour – Voyez du haut de ces rivages – Voyez comme il m’aime – Voyez là bas sur la colline – Voyez se pencher sur les eaux – Voyez sur cette roche – Vraiment l’aventure est unique – Ya d' l’oignon – Y allons, Cadet, point d’paresse – Y ekhat kozak za Dounat – Yo né un hommé qu’ès pixou, ou si le cœur vous en disait – Zanette montant à l’houspice – Ziste, zeste, malepeste, comme il va – Zéphyr, zéphyr, le modèle – Zéphyr d’un soupir.
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